Quel bonheur de rouler en 900….
Je continu donc mon récit.
Je détail la pochette de joint pour ceux qui de connaisse pas.
De gauche a droite et de haut en bas.
Les deux joints pour le corps froid. (Turbine admission)
Les quatre clips de fixation pour les bagues bronzes.
Les deux segments qui se trouve sur l’axe des turbines.
L’écrou de fixation de la turbine froide.
Le clips de fixation de la tige de la wastegate.
Les bagues bronze.
Les vis de fixation du corps froid.
Et le truc (thrust bearing) qui vient derrière la turbine froide.
Le remontage c’est mieux passé que ce que j’avais imaginé.
Grâce à mon stage, moines shaolin, j’ai pu m’en sortir et avec éclat.
Les deux premiers clips de fixation de bagues bronze c’est très chaud.
Après c’est du gâteau.
Lors du démontage j’avais fait des marques pour repérer les différents assemblages, et heureusement.
Je détail.
Deux marques pour repérer la position du corps froid avec de corps tournant.
Deux marques pour repérer la position du corps chaud par rapport au corps tournant.
Trois marques pour aligner l’axe, l’ecrou et la turbine froide. (Je me suis donc passé de l’équilibrage), certain diront que ce n’est pas la meilleur solution et je suis d’accord, mais dans mon cas, c’est une solution d’attente.
Je tiens à remercier Vincent. Grâce à lui j’ai pu avoir, rapidement, un corps chaud en meilleur état que le mien.
Voici donc le bébé sur l’établi.
Le remontage de la bête dans le compartiment moteur.
Merci a l’esprit Saab pour son super tuto.
Grâce à lui je n’ai pas eu la galère du remontage pour tuyau de retour d’huile.
En effet j’ai assemblé d’une manière libre (deux trois tour de vis) le tuyau de retour d’huile avec le turbo avant le repositionnement de ce dernier. Comme cela j’ai emboîté le tuyau dans le bloc moteur, puis boulonner le turbo sur le collecteur et enfin finir de viser le fameux tuyau avec les vis pas très accessible.
Je pense que c’est pas super clair pour ceux qui n’ont jamais bricolé dans ce coin mais les m’auront compris…
Après contrôle, je n’ai plus rien sur ma desserte... C’est que j’ai tout remonté…
Quelques tours de démarreur sans allumage (pour faire tourner la pompe a huile) et vroumm.
C’est parti. Au quart.
En parallèle tant que la voiture était immobilisé dans la grange je me suis fait la poulie damper.
Je suis passé par le dessus. Clim, courroie…
La vache…J’avais lu quelque post à ce sujet…
Mais c’est vrai que serré super fort.
Je suis fait un bloc volant moteur. (Dispo, par la poste, pour ceux qui en ont besoin)
J’ai bricolé un premier outil douille plus un fer plat de 1,5m.
Résultat :
L’écrou est toujours là, donc je recommence mais avec un carré de 1m.
Tordu aussi, mais j’ai réussi à débloquer l’écrou.
Résultat :
Depuis ce matin ma 88 roule a nouveau sans couinement (damper), sans fumée, et avec une aiguille de turbo qui se promène au début du rouge.
Il me reste a vérifie la pression de basse, j'ai lu un truc la dessus sur le forum... (je me suis acheté un très gros et beau mano gradué pour cela).
Je vais pouvoir reprendre en main la remise en route de ma 86…
Pour vous récompenser de votre lecture voici quelques photos prises cet été.
Je sais cet été je m'occupe des pare chocs ...
A plus…
