2 incas se promène, l'un est le fils de l'autre mais l'autre n'est pas son père.
Qui est-ce

Je vois ce que tu veux dire mais ca n'a aucun rapport avec les enfants... et en plus, on le retrouve deux fois dans l'année....
J'ai bien une idée, mais si des enfants nous lisent ...![]()
Mômon....devinette:
2 incas se promène, l'un est le fils de l'autre mais l'autre n'est pas son père.
Qui est-ce![]()
C'est une petite fille qui demande à sa grand-mère: "Dis, grand-mère, quel âge que t'as toi ?".
> Et la grand-mère qui est vieille, très vieille :
> "Heu, ... je suis née en 1908, ... nous sommes en 2006, non, 2007-1908, ça fait ... heu , ça fait.... ."
> "Mais grand-mère, interrompt la petite, pourquoi tu te fatigues comme ça,tu n'as qu'à regarder dans ta petite culotte !".
> "Dans ma petite culotte, comment ça, dans ma petite culotte ?" .
> "Ben oui, moi quand je regarde dans ma petite culotte, j'ai une étiquette, c'est marqué 5 ans !"
David a invité sa mère à dîner.
Pendant le repas, celle-ci ne peut s'empêcher de remarquer que Julie, la
colocataire de son fils, est sacrément mignonne.
Pendant la soirée, alors qu'elle observe la façon dont David et Julie se
comportent l'un envers l'autre, elle se demande s'il n'y a pas entre eux
un peu plus que le simple partage d'un loyer.
David, devinant les pensées de sa mère, lui dit :
- « Maman, je sais ce que tu es en train de penser mais je t'assure que
Julie et moi ne faisons que partager un appartement, c'est tout. »
Environ une semaine plus tard, Julie dit à David :
- « Dis donc, depuis que ta mère est venue dîner, je ne trouve plus la
louche en argent. Crois-tu possible qu'elle l'ai prise ? »
- « Quand même, ça m'étonnerait que Maman soit devenue pickpocket !
Mais bon, je vais lui écrire un mail pour en avoir le coeur net. »
Il s'assied devant son ordi et écrit :
- « Ma chère Maman, je ne dis pas que tu as embarqué notre louche en
argent, et je ne dis pas non plus que tu n'as pas pris la louche,
mais il n'en reste pas moins vrai que cette louche a disparu depuis
que tu es venue dîner. Bisous, David. »
Et le lendemain, David reçoit la réponse de sa mère :
- « Mon cher David, je ne dis pas que tu couches avec Julie, et je ne
dis pas non plus que tu ne couches pas avec Julie. Mais il n'en
reste pas moins vrai que si Julie dormait dans son lit, elle aurait
trouvé la louche depuis longtemps. Bisous, Maman
Super sympa cette petite vidéo !
Vous les femmes
Jamais insensibles aux charmes
roulio
Au lit l'autre soir avec ma femme, la température montait rapidement.
Au moment de passer aux choses sérieuses, elle m'arrêta et me dit :
- «Non, mon amour, je ne le sens pas bien... »
Puis elle ajouta :
- « Je n'ai pas spécialement envie, je voudrais juste que tu me tiennes
dans tes bras. Tu n'es pas assez en phase avec mes besoins émotionnels de femme
pour que j'aie envie de satisfaire tes besoins sexuels d'homme ! »
A mon regard ébahi, elle enchaîna :
- « Je voudrais que tu m'aimes pour ce que je suis et non pour ce que
je fais pour toi au lit '. »
Comprenant que rien ne se passerait ce soir-là, je n'insistai pas et je m'endormis.
Quelque temps après, comme j'avais des congés à récupérer, je décidai de passer la journée avec elle. Après un dîner dans un petit restaurant sympa, je l'emmenai dans un grand magasin de mode où je l'invitai à essayer divers vêtements sous mon regard intéressé.
Pendant un long moment, elle essaya tout ce qui tombait sous ses yeux et parada devant moi comme une star.
Finalement, deux robes retinrent spécialement son attention.
Comme elle ne savait pas se décider, je lui laissai entendre qu'elle prendrait bien les deux.
A l'étage suivant se trouvait le rayon des chaussures : une paire neuve par robe semblait indispensable.
Une jolie paire de boucles d'oreilles lui faisait de l'oeil : hop, dans le panier ! Croyez-moi, ses yeux brillaient de plus en plus !!!
Je la connais, je voyais monter en elle une forme d'excitation indescriptible.
Elle voulut même me tester, voir jusqu'où j'irai, car elle s'intéressa aux bracelets de tennis.
Elle n'a jamais tenu une raquette, mais bon... Je répondis oui.
Puis il y eut quelques paires de bas, de la lingerie, un foulard, les rayons parfum et maquillage et quelques bricoles.
Finalement, elle me regarda avec des yeux pétillants comme du champagne, et dit :
- « Ca va être cher tout ça... On passe à la caisse ? »
Quand je répondis :
- « Non, mon amour, je ne le sens pas bien..., » son visage devint béat d'étonnement et sa bouche resta ouverte.
Je lui dis alors :
- « je n'ai pas spécialement envie, je voulais simplement te voir habillée ainsi. Tu n'es pas assez en phase avec mes capacités financières d'homme pour que je puisse satisfaire tes désirs d'achats de femme. »
Et comme elle me regardait avec des yeux assassins, j'ajoutai :
- « Je voudrais que tu m'aimes pour ce que je suis et non pour ce que je t'achète »
Et vla dans la gueule !