Re: 900 Turbo 16 S 1993 &Saabiste fou et comment on le devient ...
Publié : dim. janv. 21, 2007 7:21 pm
Ben voilà, je découvre ce forum sur les Saab et je viens de m'inscrire pour entrer dans le club des propriétaires heureux de Saab anciennes, les vraies, les pures
Petit historique de mon passé de saabiste :
- aperçu d'un modèle dans les rues de Dijon en 1990 : kekcekça ? Mais immédiatement, moi et ma copine, on tombe amoureux ! Bon, à l'époque, on était sur Peugeot 305 GT... Je m'intéresse, dans les revues auto et le virus me prend.
- déc. 1991 : marre de la R18 break qui a remplacé la 305. Ca nous prend, déplacement chez le concessionnaire Chassay à Tours (accueil superbe, la meileure concession Saab de France à ma connaissance). Ils ont une 900 I 16 de 1988, 3P, noire, intérieur cuir fauve, nickel, 90 000 F de l'époque. Badadoum, on l'achète
- en 1998, alors que nous sommes sur Versailles, ça nous reprend (on a toujours la I 16) : on achète au concessionnaire Saab de St Germain (bof, voir pourquoi après) un cab 900 T16 de 96, pas trop propre mais bon, me souviens plus du prix. On en a profité quelques semaines avant casse moteur sans prévenir sur l'autoroute. Discussion sur la responsabilité, prise en charge 50/50 entre le concessionnaire et nous, mais ça nous avait refroidi car il a fallu 6 mois entre les discussions et l'échange standard moteur. De plus, quand nous avions pris la voiture à la concession, pneus directionnels montés à l'envers, trucs pas faits alors que demandés... Donc nous l'avons revendu en 2001 à un amateur du Nord de la France
.
- entre temps, en 1999, une voiture débouche d'un stop sans prévenir alors que je suis sur une départementale à 90+. Résultat : la Saxo est pliée et la mienne (gros choc à l'avant mais le bonhomme est intact) est considéré comme irréparable
. Donc quelques années en Audi 100 (5 cylindres sympa mais il vaut mieux être insensible au mal de l'air).
- comme je ne m'étais pas fais désensibilisé, j'aperçois, en 2003, chez le marchand d'occas à 500 m de mes parents une T 16 S qui s'ennuie : quelques semaines à éviter d'y penser puis la rechute brutale
. On traite à 5000 € dans son jus et je l'amène chez Chassay pour remise en forme. Dpuis, le bonheur (le T 16 S est vraiment génial alors que j'étais déjà ravi avec le I 16
). Donc je me balade toujours le WE avec, vu que dans la semaine, j'ai une voiture de ma boite (Volvo V40 TDI, je reste quand même dans une suédoise
).
Allez, assez pour aujourd'hui, je pense à faire des photos de la belle pour vous en faire profiter bientôt.

Petit historique de mon passé de saabiste :
- aperçu d'un modèle dans les rues de Dijon en 1990 : kekcekça ? Mais immédiatement, moi et ma copine, on tombe amoureux ! Bon, à l'époque, on était sur Peugeot 305 GT... Je m'intéresse, dans les revues auto et le virus me prend.
- déc. 1991 : marre de la R18 break qui a remplacé la 305. Ca nous prend, déplacement chez le concessionnaire Chassay à Tours (accueil superbe, la meileure concession Saab de France à ma connaissance). Ils ont une 900 I 16 de 1988, 3P, noire, intérieur cuir fauve, nickel, 90 000 F de l'époque. Badadoum, on l'achète

- en 1998, alors que nous sommes sur Versailles, ça nous reprend (on a toujours la I 16) : on achète au concessionnaire Saab de St Germain (bof, voir pourquoi après) un cab 900 T16 de 96, pas trop propre mais bon, me souviens plus du prix. On en a profité quelques semaines avant casse moteur sans prévenir sur l'autoroute. Discussion sur la responsabilité, prise en charge 50/50 entre le concessionnaire et nous, mais ça nous avait refroidi car il a fallu 6 mois entre les discussions et l'échange standard moteur. De plus, quand nous avions pris la voiture à la concession, pneus directionnels montés à l'envers, trucs pas faits alors que demandés... Donc nous l'avons revendu en 2001 à un amateur du Nord de la France

- entre temps, en 1999, une voiture débouche d'un stop sans prévenir alors que je suis sur une départementale à 90+. Résultat : la Saxo est pliée et la mienne (gros choc à l'avant mais le bonhomme est intact) est considéré comme irréparable

- comme je ne m'étais pas fais désensibilisé, j'aperçois, en 2003, chez le marchand d'occas à 500 m de mes parents une T 16 S qui s'ennuie : quelques semaines à éviter d'y penser puis la rechute brutale



Allez, assez pour aujourd'hui, je pense à faire des photos de la belle pour vous en faire profiter bientôt.