Rions un peu...
- vasco
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Re: Rions un peu...
ENCORE LE VIAGRA...
Un gars se présente chez son pharmacien.
- Je voudrais du Viagra s.v.p.
- Avez-vous une prescription?
- Non mais j'ai une photo de ma femme...
Un gars se présente chez son pharmacien.
- Je voudrais du Viagra s.v.p.
- Avez-vous une prescription?
- Non mais j'ai une photo de ma femme...
- vasco
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Re: Rions un peu...
LA GROSSE BOITE...Un gars vient de se faire embaucher dans une grosse boite spécialisée dans le recouvrement de créances. Un beau jour, le patron l'appelle dans son bureau :
- Comment vous appelez-vous ?-
Je m'appelle Jean, Monsieur le Directeur
Le directeur fronce les sourcils
Écoutez, je ne sais pas dans quel genre de bastringue vous avez travaillé avant, mais ici, il n'est pas question d'appeler un employé par son prénom; ça montre un excès de familiarité et ne peut amener qu'une dégradation de l'autorité. C'est pourquoi tous les employés doivent être appelés par leur nom de famille... Dupont, Martin, Durand... Un point, c'est tout! Maintenant que ce point a été éclairci, dites-moi un peu, quel est votre nom ?
Le nouvel employé soupire :- Belleverge. Mon nom est Jean Belleverge.-
Très bien Jean. Alors la deuxième chose que je voulais vous dire, c'est...
- Comment vous appelez-vous ?-
Je m'appelle Jean, Monsieur le Directeur
Le directeur fronce les sourcils
Écoutez, je ne sais pas dans quel genre de bastringue vous avez travaillé avant, mais ici, il n'est pas question d'appeler un employé par son prénom; ça montre un excès de familiarité et ne peut amener qu'une dégradation de l'autorité. C'est pourquoi tous les employés doivent être appelés par leur nom de famille... Dupont, Martin, Durand... Un point, c'est tout! Maintenant que ce point a été éclairci, dites-moi un peu, quel est votre nom ?
Le nouvel employé soupire :- Belleverge. Mon nom est Jean Belleverge.-
Très bien Jean. Alors la deuxième chose que je voulais vous dire, c'est...
- vasco
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Re: Rions un peu...
--------------------------------------------------------------------------------
> C'est un vieil homme de 80 ans qui va chez le docteur pour un examen annuel.
> Ce dernier lui demande comment vont les choses.
> - Je suis en pleine forme, je sors avec une jeune de 18 ans, et je l'ai mise enceinte. Qu'est-ce que vous pensez de ça, doc?
> - Laissez-moi vous raconter une histoire, dit le docteur. C'est une histoire vraie. J'ai un ami qui est un passionné de chasse, il n'a jamais manqué une saison. Un jour, alors qu'il s'en allait chasser et qu'il était
> pressé, il se trompa et au lieu de prendre son fusil, il prit son parapluie. Au coeur de la forêt, il aperçoit un grizzly qui fonce sur lui.
> Il saisit son parapluie, l'épaule et appuie sur la poignée. Savez-vous alors ce qu'il s'est passé?
> - Non.
> - Eh bien, le grizzly tomba raide mort à ses pieds
> - C'est impossible, s'insurgea le vieillard. Quelqu'un a dû tirer à sa place.!
> - C'est là où je voulais en venir
> ________________________________________
> Une dame va renouveler son passeport.
> Le fonctionnaire lui demande :
> - Combien d'enfants avez vous ?
> - 10
> - Et leur prénoms
> - Bernard, Bernard, Bernard, Bernard, Bernard, Bernard, Bernard, Bernard, Bernard et Bernard.
> - Ils s'appellent tous Bernard ??? Et, comment vous faites pour les appeler quand ils jouent tous dehors, par exemple ?
> - Très simple, je crie Bernard et ils rentrent tous.
> - Et si vous voulez qu'ils passent à table ?
> - Pareil. Je crie Bernard et tous se mettent à table.
> - Mais ,et si vous voulez parler particulièrement avec l'un d'entre eux comment vous faites ?
> - Ah ! dans ce cas là je l'appelle par son nom de famille...
> -----------------------------------------------
> Une secrétaire est arrêtée 15 jours pour une appendicite aiguë. Une de ses collègues va la voir à l'hôpital pour prendre et lui donner des nouvelles.
> -'Comment ça va au bureau' demande notre malade.
> -'Bah, tous le monde y met un peu du sien pour te remplacer, Sylvie fait le café, Amélie lit tes magazines et Chantale suce le patron.
> -----------------------------------------------
> Philippe rentre du travail et trouve Mathilde nue devant le miroir en train d'admirer sa poitrine.
> - ' Qu'est-ce qui t'arrive?' lui demande Philippe.
> - ' Et bien, je suis allée chez le docteur cet après-midi et il m'a dit que j'avais des seins d'une jeune fille de 18 ans!'
> - ' Ah oui?', ricane Philippe, et qu'est-ce qu'il a dit de ton trou du cul de 40 ans ?
> - ' Rien. On n'a pas parlé de toi.'
> ----------------------------------------------
> A Londres un banquier de la City, la cinquantaine, sérieux, très
> élégant,avec un chapeau melon, parapluie et costume trois pièces sombre, se retrouve à l' arrêt du bus en compagnie d'un punk,piercings divers, les cheveux rouges, vert, jaune, bleu et violet.
> Le gentleman semble regarder le punk d'un air méprisant. > Le punk offusqué l'apostrophe:
> - ' Vous avez un problème? Pas étonnant, en vous voyant, je me doute que
> vous n'avez jamais rien fait d'excentrique dans votre vie.
> Le banquier le considère un instant:
> -' Détrompez-vous jeune homme. Une fois dans ma jeunesse, aux Indes, j'ai
> enculé un perroquet, je me demandais si par hasard, vous ne seriez pas mon fils.
> -----------------------------------------------
> Attention à l'épidémie :
> Attention : suite à une épidémie qui sévit depuis de longues années sur
> notre beau territoire français, la 'Maladie du Boulanger' va certainement
> être reconnue maladie professionnelle.
> Elle n'atteint que des individus de sexe masculin âgés de plus de 40 ans.
> Elle se manifeste ainsi : la brioche augmente et la baguette diminue...
- vroumvroum
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Re: Rions un peu...
J'ai quand même mis 10 secondes à comprendre la première....

- vasco
- Messages : 15958
- Inscription : dim. févr. 19, 2006 1:00 am
Re: Rions un peu...
test de la banane :
> > Il y a un très, très grand cocotier et 4 animaux :
> un lion
> , un chimpanzé,
> > une girafe
> et, un écureuil qui sont tout près de l’arbre.
>
> >
> > Ils décident de se lancer un défi entre eux.
>
> >
> > Quel animal sera le plus rapide pour atteindre la banane au sommet de
> > l’arbre ?
> >
> > Selon vous, quel animal gagnera le défi ?
> >
> > NB : votre réponse sera directement
> le reflet de votre personnalité…
> >
> > Donc, pensez-y attentivement…
>
> > Essayez et répondez à cette question en moins de 30 secondes.
> >
> > Avez-vous fait votre choix ?
>
> > Voir plus bas, les résultats de cette sérieuse analyse
> >
> >
> > Si votre réponse est :
> >
> > le lion : vous êtes ennuyant
> > le chimpanzé : vous êtes idiot
> > la girafe : vous êtes stupide
> > l’écureuil : vous êtes complètement stupide
> >
> > Pourquoi ?
> > Parce qu’il n’y a pas de bananes dans un cocotier…
> >
> > Vous êtes donc très stressé et surchargé par le travail.
> > Vous devriez prendre quelques jours de congés pour vous relaxer.
Essayez de nouveau le test, l’an prochain… !!!
> > Il y a un très, très grand cocotier et 4 animaux :
> un lion
> , un chimpanzé,
> > une girafe
> et, un écureuil qui sont tout près de l’arbre.
>
> >
> > Ils décident de se lancer un défi entre eux.
>
> >
> > Quel animal sera le plus rapide pour atteindre la banane au sommet de
> > l’arbre ?
> >
> > Selon vous, quel animal gagnera le défi ?
> >
> > NB : votre réponse sera directement
> le reflet de votre personnalité…
> >
> > Donc, pensez-y attentivement…
>
> > Essayez et répondez à cette question en moins de 30 secondes.
> >
> > Avez-vous fait votre choix ?
>
> > Voir plus bas, les résultats de cette sérieuse analyse
> >
> >
> > Si votre réponse est :
> >
> > le lion : vous êtes ennuyant
> > le chimpanzé : vous êtes idiot
> > la girafe : vous êtes stupide
> > l’écureuil : vous êtes complètement stupide
> >
> > Pourquoi ?
> > Parce qu’il n’y a pas de bananes dans un cocotier…
> >
> > Vous êtes donc très stressé et surchargé par le travail.
> > Vous devriez prendre quelques jours de congés pour vous relaxer.
Essayez de nouveau le test, l’an prochain… !!!
- pierre76160
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- Inscription : mer. août 10, 2005 2:00 am
Re: Rions un peu...
> -----------------------------------------------
> Une secrétaire est arrêtée 15 jours pour une appendicite aiguë. Une de ses collègues va la voir à l'hôpital pour prendre et lui donner des nouvelles.
> -'Comment ça va au bureau' demande notre malade.
> -'Bah, tous le monde y met un peu du sien pour te remplacer, Sylvie fait le café, Amélie lit tes magazines et Chantale suce le patron.
> -----------------------------------------------
> Philippe rentre du travail et trouve Mathilde nue devant le miroir en train d'admirer sa poitrine.
> - ' Qu'est-ce qui t'arrive?' lui demande Philippe.
> - ' Et bien, je suis allée chez le docteur cet après-midi et il m'a dit que j'avais des seins d'une jeune fille de 18 ans!'
> - ' Ah oui?', ricane Philippe, et qu'est-ce qu'il a dit de ton trou du cul de 40 ans ?
> - ' Rien. On n'a pas parlé de toi.'
> ----------------------------------------------
> A Londres un banquier de la City, la cinquantaine, sérieux, très
> élégant,avec un chapeau melon, parapluie et costume trois pièces sombre, se retrouve à l' arrêt du bus en compagnie d'un punk,piercings divers, les cheveux rouges, vert, jaune, bleu et violet.
> Le gentleman semble regarder le punk d'un air méprisant. > Le punk offusqué l'apostrophe:
> - ' Vous avez un problème? Pas étonnant, en vous voyant, je me doute que
> vous n'avez jamais rien fait d'excentrique dans votre vie.
> Le banquier le considère un instant:
> -' Détrompez-vous jeune homme. Une fois dans ma jeunesse, aux Indes, j'ai
> enculé un perroquet, je me demandais si par hasard, vous ne seriez pas mon fils.
> -----------------------------------------------
> Attention à l'épidémie :
> Attention : suite à une épidémie qui sévit depuis de longues années sur
> notre beau territoire français, la 'Maladie du Boulanger' va certainement
> être reconnue maladie professionnelle.
> Elle n'atteint que des individus de sexe masculin âgés de plus de 40 ans.
> Elle se manifeste ainsi : la brioche augmente et la baguette diminue...
très classe !!!! comme d'hab ...
- vasco
- Messages : 15958
- Inscription : dim. févr. 19, 2006 1:00 am
Re: Rions un peu...
UNIQUEMENT POUR PIERRE DU7/7 qui j'espère ne trouvera rien à redire cette fois ci contrairement à son habitude. souris tu vas être lu
Charles Perrault
Il était une fois une petite fille de Village, la plus jolie qu’on eût su voir ; sa mère en était folle, et sa mère-grand plus folle encore. Cette bonne femme lui fit faire un petit chaperon rouge, qui lui seyait si bien, que partout on l’appelait le Petit Chaperon rouge.
Un jour, sa mère, ayant cuit et fait des galettes, lui dit : Va voir comme se porte ta mère-grand, car on m’a dit qu’elle était malade. Porte-lui une galette et ce petit pot de beurre. Le Petit Chaperon rouge partit aussitôt pour aller chez sa mère-grand, qui demeurait dans un autre Village. En passant dans un bois elle rencontra compère le Loup, qui eut bien envie de la manger ; mais il n’osa, à cause de quelques Bûcherons qui étaient dans la Forêt. Il lui demanda où elle allait ; la pauvre enfant, qui ne savait pas qu’il est dangereux de s’arrêter à écouter un Loup, lui dit : Je vais voir ma Mère-grand, et lui porter une galette, avec un petit pot de beurre, que ma Mère lui envoie. Demeure-t-elle bien loin ? lui dit le Loup.
Oh ! oui, dit le Petit Chaperon rouge, c’est par-delà le moulin que vous voyez tout là-bas, à la première maison du Village. Eh bien, dit le Loup, je veux l’aller voir aussi ; je m’y en vais par ce chemin-ci, et toi par ce chemin-là, et nous verrons qui plus tôt y sera. Le loup se mit à courir de toute sa force par le chemin qui était le plus court, et la petite fille s’en alla par le chemin le plus long, s’amusant à cueillir des noisettes, à courir après des papillons, et à faire des bouquets des petites fleurs qu’elle rencontrait.
Le loup ne fut pas longtemps à arriver à la maison de la Mère-grand ; il heurte : Toc, toc. Qui est là ? C’est votre fille le Petit Chaperon rouge (dit le Loup, en contrefaisant sa voix) qui vous apporte une galette et un petit pot de beurre que ma Mère vous envoie. La bonne Mère-grand, qui était dans son lit à cause qu’elle se trouvait un peu mal, lui cria : Tire la chevillette, la bobinette cherra. Le Loup tira la chevillette et la porte s’ouvrit. Il se jeta sur la bonne femme, et la dévora en moins de rien ; car il y avait plus de trois jours qu’il n’avait mangé. Ensuite il ferma la porte, et s’alla coucher dans le lit de la Mère-grand, en attendant le Petit Chaperon rouge, qui quelque temps après vint heurter à la porte. Toc, toc.
Qui est là ? Le Petit Chaperon rouge, qui entendit la grosse voix du Loup eut peur d’abord, mais croyant que sa Mère-grand était enrhumée, répondit : C’est votre fille le Petit Chaperon rouge, qui vous apporte une galette et un petit pot de beurre que ma Mère vous envoie. Le Loup lui cria en adoucissant un peu sa voix : Tire la chevillette, la bobinette cherra. Le Petit Chaperon rouge tira la chevillette, et la porte s’ouvrit.
Le Loup, la voyant entrer, lui dit en se cachant dans le lit sous la couverture : Mets la galette et le petit pot de beurre sur la huche, et viens te coucher avec moi. Le Petit Chaperon rouge se déshabille, et va se mettre dans le lit, où elle fut bien étonnée de voir comment sa Mère-grand était faite en son déshabillé. Elle lui dit : Ma mère-grand, que vous avez de grands bras ? C’est pour mieux t’embrasser, ma fille.
Ma mère-grand, que vous avez de grandes jambes ? C’est pour mieux courir, mon enfant. Ma mère-grand, que vous avez de grandes oreilles ? C’est pour mieux écouter, mon enfant. Ma mère-grand, que vous avez de grands yeux ? C’est pour mieux voir, mon enfant. Ma mère-grand, que vous avez de grandes dents. C’est pour te manger. Et en disant ces mots, ce méchant Loup se jeta sur le Petit Chaperon rouge, et la mangea.
MORALITÉ
On voit ici que de jeunes enfants,
Surtout de jeunes filles
Belles, bien faites, et gentilles,
Font très mal d’écouter toute sorte de gens,
Et que ce n’est pas chose étrange,
S’il en est tant que le Loup mange.
Je dis le Loup, car tous les Loups
Ne sont pas de la même sorte ;
Il en est d’une humeur accorte,
Sans bruit, sans fiel et sans courroux,
Qui privés, complaisants et doux,
Suivent les jeunes Demoiselles
Jusque dans les maisons, jusque dans les ruelles ;
Mais hélas ! qui ne sait que ces Loups doucereux,
De tous les Loups sont les plus dangereux.
Charles Perrault
Il était une fois une petite fille de Village, la plus jolie qu’on eût su voir ; sa mère en était folle, et sa mère-grand plus folle encore. Cette bonne femme lui fit faire un petit chaperon rouge, qui lui seyait si bien, que partout on l’appelait le Petit Chaperon rouge.
Un jour, sa mère, ayant cuit et fait des galettes, lui dit : Va voir comme se porte ta mère-grand, car on m’a dit qu’elle était malade. Porte-lui une galette et ce petit pot de beurre. Le Petit Chaperon rouge partit aussitôt pour aller chez sa mère-grand, qui demeurait dans un autre Village. En passant dans un bois elle rencontra compère le Loup, qui eut bien envie de la manger ; mais il n’osa, à cause de quelques Bûcherons qui étaient dans la Forêt. Il lui demanda où elle allait ; la pauvre enfant, qui ne savait pas qu’il est dangereux de s’arrêter à écouter un Loup, lui dit : Je vais voir ma Mère-grand, et lui porter une galette, avec un petit pot de beurre, que ma Mère lui envoie. Demeure-t-elle bien loin ? lui dit le Loup.
Oh ! oui, dit le Petit Chaperon rouge, c’est par-delà le moulin que vous voyez tout là-bas, à la première maison du Village. Eh bien, dit le Loup, je veux l’aller voir aussi ; je m’y en vais par ce chemin-ci, et toi par ce chemin-là, et nous verrons qui plus tôt y sera. Le loup se mit à courir de toute sa force par le chemin qui était le plus court, et la petite fille s’en alla par le chemin le plus long, s’amusant à cueillir des noisettes, à courir après des papillons, et à faire des bouquets des petites fleurs qu’elle rencontrait.
Le loup ne fut pas longtemps à arriver à la maison de la Mère-grand ; il heurte : Toc, toc. Qui est là ? C’est votre fille le Petit Chaperon rouge (dit le Loup, en contrefaisant sa voix) qui vous apporte une galette et un petit pot de beurre que ma Mère vous envoie. La bonne Mère-grand, qui était dans son lit à cause qu’elle se trouvait un peu mal, lui cria : Tire la chevillette, la bobinette cherra. Le Loup tira la chevillette et la porte s’ouvrit. Il se jeta sur la bonne femme, et la dévora en moins de rien ; car il y avait plus de trois jours qu’il n’avait mangé. Ensuite il ferma la porte, et s’alla coucher dans le lit de la Mère-grand, en attendant le Petit Chaperon rouge, qui quelque temps après vint heurter à la porte. Toc, toc.
Qui est là ? Le Petit Chaperon rouge, qui entendit la grosse voix du Loup eut peur d’abord, mais croyant que sa Mère-grand était enrhumée, répondit : C’est votre fille le Petit Chaperon rouge, qui vous apporte une galette et un petit pot de beurre que ma Mère vous envoie. Le Loup lui cria en adoucissant un peu sa voix : Tire la chevillette, la bobinette cherra. Le Petit Chaperon rouge tira la chevillette, et la porte s’ouvrit.
Le Loup, la voyant entrer, lui dit en se cachant dans le lit sous la couverture : Mets la galette et le petit pot de beurre sur la huche, et viens te coucher avec moi. Le Petit Chaperon rouge se déshabille, et va se mettre dans le lit, où elle fut bien étonnée de voir comment sa Mère-grand était faite en son déshabillé. Elle lui dit : Ma mère-grand, que vous avez de grands bras ? C’est pour mieux t’embrasser, ma fille.
Ma mère-grand, que vous avez de grandes jambes ? C’est pour mieux courir, mon enfant. Ma mère-grand, que vous avez de grandes oreilles ? C’est pour mieux écouter, mon enfant. Ma mère-grand, que vous avez de grands yeux ? C’est pour mieux voir, mon enfant. Ma mère-grand, que vous avez de grandes dents. C’est pour te manger. Et en disant ces mots, ce méchant Loup se jeta sur le Petit Chaperon rouge, et la mangea.
MORALITÉ
On voit ici que de jeunes enfants,
Surtout de jeunes filles
Belles, bien faites, et gentilles,
Font très mal d’écouter toute sorte de gens,
Et que ce n’est pas chose étrange,
S’il en est tant que le Loup mange.
Je dis le Loup, car tous les Loups
Ne sont pas de la même sorte ;
Il en est d’une humeur accorte,
Sans bruit, sans fiel et sans courroux,
Qui privés, complaisants et doux,
Suivent les jeunes Demoiselles
Jusque dans les maisons, jusque dans les ruelles ;
Mais hélas ! qui ne sait que ces Loups doucereux,
De tous les Loups sont les plus dangereux.
- troll
- Messages : 2439
- Inscription : mar. août 17, 2004 2:00 am
Re: Rions un peu...
Du classique. Mozinor.
- Tintin
- Messages : 2920
- Inscription : sam. mai 12, 2007 2:00 am
Re: Rions un peu...
Vaches de profs !
Appréciations expéditives :
Ta copie vaut 13, mais je t’ai mis 12, pour ne pas te porter malheur.
Elève surtout utile l’hiver, pour chauffer la pièce de sa présence.
Non, non, ce n’est pas une classe de rameurs.
La preuve : on fait du sur-place.
Elève violemment amnésique : oublie ses leçons, son matériel, et surtout la raison de sa présence au Lycée.
Il y a des jours où on est heureux sans savoir pourquoi. Pour Mathilde, c’est pareil : on est heureux qu’elle soit en 1ère, mais sans savoir pourquoi.
Même à l’oral, il fait des fautes d’orthographes !
Conclusion d’un conseil de classe :
On dit souvent que l’Education Nationale manque de moyens.
Ce n’est pas le cas dans cette classe
Rendons-lui justice : il arrive fréquemment en retard à mes cours, mais du coup il est très en avance pour le cours suivant.
Soyons positifs : il rend peut-être ses copies blanches, mais jamais en retard.
Bien parti pour réussir à rater son année.
Elève fantôme, mais qui manque totalement d’esprit.
N’a jamais ses crayons, n’a jamais ses cahiers, n’a jamais ses livres, mais a des circonstances atténuantes : n’a jamais son cartable.
Au conseil de classe, j’ai dit qu’il y avait beaucoup d’élèves en difficulté. Maintenant qu’on est entre nous, je traduis : vous êtes une bande de grosses feignasses !
Lundi, photo de classe. Surtout ne vous entraînez pas à sourire pendant le week-end, il faut qu’on vous reconnaisse !
C’est pour éviter d’être ébloui par mon cours que tu gardes tes lunettes de soleil ?
- M’sieur, ça a sonné …
- C’est ça, c’est ça … Jeanne d’Arc, au tableau !
Au fait, je voudrais m’excuser par avance d’un problème anatomique un peu handicapant : j’entends très bien de l’oreille droite et très très bien de l’oreille gauche… Le premier qui bavarde, je l’aligne.
- M’sieur, les livres, aujourd’hui ça sert plus à rien avec Internet !
- Alors les cerveaux non plus, avec la télé ?... Taisez vous donc et reconnectez vous sur « lecoursduprof.fr ».
A un couple fusionnel d’élèves de la même classe :
- Aimer, c’est peut-être regarder dans la même direction, mais pas sur la même copie. Merci.
Le prof interroge une élève d’habitude très discrète et pousse un cri d’horreur :
Aaaaaaaaah !... (Stupéfaction de la classe)
Elle a parlé, elle est vivante ! …
Lequel de vous deux a copié sur l’autre ? Je pourrais lancer une recherche d’ ADN sur vos devoirs, mais on va gagner du temps : dénoncez-vous !
Il paraît qu’on n’utilise que 15% des ressources de notre cerveau. Vous avez le droit d’essayer déjà de vous rapprocher de ce niveau.
Appréciations expéditives :
Ta copie vaut 13, mais je t’ai mis 12, pour ne pas te porter malheur.
Elève surtout utile l’hiver, pour chauffer la pièce de sa présence.
Non, non, ce n’est pas une classe de rameurs.
La preuve : on fait du sur-place.
Elève violemment amnésique : oublie ses leçons, son matériel, et surtout la raison de sa présence au Lycée.
Il y a des jours où on est heureux sans savoir pourquoi. Pour Mathilde, c’est pareil : on est heureux qu’elle soit en 1ère, mais sans savoir pourquoi.
Même à l’oral, il fait des fautes d’orthographes !
Conclusion d’un conseil de classe :
On dit souvent que l’Education Nationale manque de moyens.
Ce n’est pas le cas dans cette classe
Rendons-lui justice : il arrive fréquemment en retard à mes cours, mais du coup il est très en avance pour le cours suivant.
Soyons positifs : il rend peut-être ses copies blanches, mais jamais en retard.
Bien parti pour réussir à rater son année.
Elève fantôme, mais qui manque totalement d’esprit.
N’a jamais ses crayons, n’a jamais ses cahiers, n’a jamais ses livres, mais a des circonstances atténuantes : n’a jamais son cartable.
Au conseil de classe, j’ai dit qu’il y avait beaucoup d’élèves en difficulté. Maintenant qu’on est entre nous, je traduis : vous êtes une bande de grosses feignasses !
Lundi, photo de classe. Surtout ne vous entraînez pas à sourire pendant le week-end, il faut qu’on vous reconnaisse !
C’est pour éviter d’être ébloui par mon cours que tu gardes tes lunettes de soleil ?
- M’sieur, ça a sonné …
- C’est ça, c’est ça … Jeanne d’Arc, au tableau !
Au fait, je voudrais m’excuser par avance d’un problème anatomique un peu handicapant : j’entends très bien de l’oreille droite et très très bien de l’oreille gauche… Le premier qui bavarde, je l’aligne.
- M’sieur, les livres, aujourd’hui ça sert plus à rien avec Internet !
- Alors les cerveaux non plus, avec la télé ?... Taisez vous donc et reconnectez vous sur « lecoursduprof.fr ».
A un couple fusionnel d’élèves de la même classe :
- Aimer, c’est peut-être regarder dans la même direction, mais pas sur la même copie. Merci.
Le prof interroge une élève d’habitude très discrète et pousse un cri d’horreur :
Aaaaaaaaah !... (Stupéfaction de la classe)
Elle a parlé, elle est vivante ! …
Lequel de vous deux a copié sur l’autre ? Je pourrais lancer une recherche d’ ADN sur vos devoirs, mais on va gagner du temps : dénoncez-vous !
Il paraît qu’on n’utilise que 15% des ressources de notre cerveau. Vous avez le droit d’essayer déjà de vous rapprocher de ce niveau.



- Nelice
- Messages : 2957
- Inscription : jeu. janv. 11, 2007 1:00 am
- Localisation : 57
Re: Rions un peu...
sacré toto!!!!!!
La maîtresse donne un cours d'éducation sexuelle ...
Elle dessine un sein sur le tableau et demande à la classe ce que c'est.
Toto lève la main et dit :
- Ca c'est un nichon et ma mère en a 2 !
- Bien ! Toto.
Et elle dessine un pénis. Toto lève la main et dit :
- Ca c'est un zizi ... Et mon papa il en a 2 aussi.
Un de 5 cm pour faire pipi et un autre de 20 cm pour brosser les dents de maman !
[:amiralackbar:2]
La maîtresse donne un cours d'éducation sexuelle ...
Elle dessine un sein sur le tableau et demande à la classe ce que c'est.
Toto lève la main et dit :
- Ca c'est un nichon et ma mère en a 2 !
- Bien ! Toto.
Et elle dessine un pénis. Toto lève la main et dit :
- Ca c'est un zizi ... Et mon papa il en a 2 aussi.
Un de 5 cm pour faire pipi et un autre de 20 cm pour brosser les dents de maman !
[:amiralackbar:2]
- le saabre
- Messages : 7831
- Inscription : jeu. sept. 02, 2004 2:00 am
Re: Rions un peu...
arretes de rire t'as les dents sales ......pour brosser les dents de maman !
[:amiralackbar:2]

- Nelice
- Messages : 2957
- Inscription : jeu. janv. 11, 2007 1:00 am
- Localisation : 57
Re: Rions un peu...
arff
je l'ai pas vue venir celle-là
je l'ai pas vue venir celle-là

- bender
- Messages : 42
- Inscription : ven. déc. 14, 2007 1:00 am
Re: Rions un peu...
Pourtant, 20cm...arff
je l'ai pas vue venir celle-là
![]()
- vroumvroum
- Messages : 469
- Inscription : mar. févr. 12, 2008 1:00 am
Re: Rions un peu...

- pierre76160
- Messages : 14850
- Inscription : mer. août 10, 2005 2:00 am
Re: Rions un peu...
Exceptionnel
arretes de rire t'as les dents sales ...[:fragdoktor]

- pierre76160
- Messages : 14850
- Inscription : mer. août 10, 2005 2:00 am
Re: Rions un peu...
Pourtant, 20cm...
Superbe suite ...
Messieurs, grande forme

- aero
- Messages : 633
- Inscription : jeu. déc. 22, 2005 1:00 am
Re: Rions un peu...
Extraits du journal intime du chien :
Jour n° 180
08h00 : Chouette, de la pâtée pour chien ! Ce que je préfère !
09h30 : Chouette, une sortie en voiture ! Ce que je préfère !
09h40 : Chouette, une promenade ! Ce que je préfère !
10h30 : Chouette, une sortie en voiture ! Ce que je préfère !
11h30 : Chouette, de la pâtée pour chien ! Ce que je préfère !
12h00 : Chouette, les enfants ! Ce que je préfère !
13h00 : Chouette, la cour ! Ce que je préfère !
16h00 : Chouette, les enfants ! Ce que je préfère !
17h00 : Chouette, de la pâtée pour chien ! Ce que jepréfère !
17h30 : Chouette, papa et maman ! Ce que je préfère !
Jour n° 181 (Voir jour n° 180)
Jour n° 182 (Voir jour n° 181)
Jour n° 183 (Voir jour n° 182)
Extraits du journal intime du chat :
Jour n° 152 :
Mes ravisseurs continuent à me provoquer avec de bizarres petits objets
pendouillant au bout d'une ficelle.
Ils se gavent de viande fraîche au dîner pendant qu'ils me forcent à
manger des céréales déshydratées.
La seule chose qui m'aide à tenir le coup est l'espoir d'une évasion, et
la maigre satisfaction que je retire de temps à autres de la destruction
d'un meuble.
Demain, je mangerai peut-être une autre plante d'appartement.
Jour n° 161 :
Aujourd'hui, ma tentative d'assassiner mes ravisseurs en me glissant
dans leurs pieds pendant qu'ils marchaient a presque réussi.
Il faudra que j'essaie encore depuis le haut des escaliers.
Dans l'espoir d'induire dégoût et répulsion chez ces vils oppresseurs,
je me suis encore forcé à vomir sur leur fauteuil préféré. Il faudra que
je recommence sur leur lit.
Jour n° 165 :
J'ai décapité une souris et leur ai apporté le corps, afin de leur faire
comprendre ce dont je suis capable, et pour frapper leurs coeurs de terreur.
Mais ils se sont juste extasiés et se sont répandus en paroles
onctueuses et condescendantes, me disant à quel point j'étais un bon
petit chat. Hmmm...
Ca ne fonctionne pas conformément au plan.
Jour n° 168 :
J'ai enfin réalisé jusqu'à quel point allait leur sadisme. Sans aucune
raison, j'ai été choisi pour le supplice de l'eau. Cette fois, de plus,
il comprenait une substance chimique mousseuse et piquante nommée
"shampooing".
Quel cerveau malade a bien pu inventer un tel liquide ?
Ma seule consolation est le morceau de pouce que je tiens encore entre
mes dents.
Jour n° 171 :
Aujourd'hui s'est tenue une sorte de réunion de malfaiteurs. J'ai été
placé à l'isolement pendant l'événement. Cependant, j'ai pu entendre le
bruit et humer l'odeur nauséabonde de cestubes de verres qu'ils
appellent "bière".
Plus important, j'ai réussi à obtenir l'information que la raison de ma
réclusion était mon pouvoir "allergisant".
Il va falloir que j'apprenne de quoi il s'agit pour que je puisse
l'utiliser à mon avantage.
Jour n° 174 :
Je suis persuadé que les autres prisonniers sont des comédiens ou
peut-être même des mouchards. Le chien est relâché tous les jours et
semble plus qu'heureux de revenir. C'est visiblement un attardé mental.
D'un autre côté, l'oiseau doit être un informateur puisqu'il leur parle
constamment. Je suis certain qu'il leur rapporte mes moindres
mouvements. Tant qu'il restera dans cette pièce de métal, sa sécurité
est assurée.
Mais je peux attendre. Ce n'est qu'une question de temps.
Jour n° 180
08h00 : Chouette, de la pâtée pour chien ! Ce que je préfère !
09h30 : Chouette, une sortie en voiture ! Ce que je préfère !
09h40 : Chouette, une promenade ! Ce que je préfère !
10h30 : Chouette, une sortie en voiture ! Ce que je préfère !
11h30 : Chouette, de la pâtée pour chien ! Ce que je préfère !
12h00 : Chouette, les enfants ! Ce que je préfère !
13h00 : Chouette, la cour ! Ce que je préfère !
16h00 : Chouette, les enfants ! Ce que je préfère !
17h00 : Chouette, de la pâtée pour chien ! Ce que jepréfère !
17h30 : Chouette, papa et maman ! Ce que je préfère !
Jour n° 181 (Voir jour n° 180)
Jour n° 182 (Voir jour n° 181)
Jour n° 183 (Voir jour n° 182)
Extraits du journal intime du chat :
Jour n° 152 :
Mes ravisseurs continuent à me provoquer avec de bizarres petits objets
pendouillant au bout d'une ficelle.
Ils se gavent de viande fraîche au dîner pendant qu'ils me forcent à
manger des céréales déshydratées.
La seule chose qui m'aide à tenir le coup est l'espoir d'une évasion, et
la maigre satisfaction que je retire de temps à autres de la destruction
d'un meuble.
Demain, je mangerai peut-être une autre plante d'appartement.
Jour n° 161 :
Aujourd'hui, ma tentative d'assassiner mes ravisseurs en me glissant
dans leurs pieds pendant qu'ils marchaient a presque réussi.
Il faudra que j'essaie encore depuis le haut des escaliers.
Dans l'espoir d'induire dégoût et répulsion chez ces vils oppresseurs,
je me suis encore forcé à vomir sur leur fauteuil préféré. Il faudra que
je recommence sur leur lit.
Jour n° 165 :
J'ai décapité une souris et leur ai apporté le corps, afin de leur faire
comprendre ce dont je suis capable, et pour frapper leurs coeurs de terreur.
Mais ils se sont juste extasiés et se sont répandus en paroles
onctueuses et condescendantes, me disant à quel point j'étais un bon
petit chat. Hmmm...
Ca ne fonctionne pas conformément au plan.
Jour n° 168 :
J'ai enfin réalisé jusqu'à quel point allait leur sadisme. Sans aucune
raison, j'ai été choisi pour le supplice de l'eau. Cette fois, de plus,
il comprenait une substance chimique mousseuse et piquante nommée
"shampooing".
Quel cerveau malade a bien pu inventer un tel liquide ?
Ma seule consolation est le morceau de pouce que je tiens encore entre
mes dents.
Jour n° 171 :
Aujourd'hui s'est tenue une sorte de réunion de malfaiteurs. J'ai été
placé à l'isolement pendant l'événement. Cependant, j'ai pu entendre le
bruit et humer l'odeur nauséabonde de cestubes de verres qu'ils
appellent "bière".
Plus important, j'ai réussi à obtenir l'information que la raison de ma
réclusion était mon pouvoir "allergisant".
Il va falloir que j'apprenne de quoi il s'agit pour que je puisse
l'utiliser à mon avantage.
Jour n° 174 :
Je suis persuadé que les autres prisonniers sont des comédiens ou
peut-être même des mouchards. Le chien est relâché tous les jours et
semble plus qu'heureux de revenir. C'est visiblement un attardé mental.
D'un autre côté, l'oiseau doit être un informateur puisqu'il leur parle
constamment. Je suis certain qu'il leur rapporte mes moindres
mouvements. Tant qu'il restera dans cette pièce de métal, sa sécurité
est assurée.
Mais je peux attendre. Ce n'est qu'une question de temps.
- vroumvroum
- Messages : 469
- Inscription : mar. févr. 12, 2008 1:00 am
Re: Rions un peu...
Vu sous ce point du vue là !!
Exellent !!



- Nelice
- Messages : 2957
- Inscription : jeu. janv. 11, 2007 1:00 am
- Localisation : 57
Re: Rions un peu...
Trouvé sur "Vie de merde !"
Aujourd'hui, avec mon homme, nous avons des jeux sexuels un peu particuliers.
C'est ainsi que je me retrouvais ligotée, bâillonnée dans le coffre de sa Clio, direction son appart.
J'y serais sa prisonnière sexuelle pour le week-end.
Après 10min de route, il s'arrête.
"Contrôle de Police Monsieur, vos papiers svp."
Aujourd'hui, avec mon homme, nous avons des jeux sexuels un peu particuliers.
C'est ainsi que je me retrouvais ligotée, bâillonnée dans le coffre de sa Clio, direction son appart.
J'y serais sa prisonnière sexuelle pour le week-end.
Après 10min de route, il s'arrête.
"Contrôle de Police Monsieur, vos papiers svp."
- vasco
- Messages : 15958
- Inscription : dim. févr. 19, 2006 1:00 am
Re: Rions un peu...
EVIDEMMENT si ils sont tous comme ça chez toi
[:fragdoktor] [:jey59]


