tu sors ça d'un bouquin de Claude Allègre ?
Ben je lit les bouquins de Claude Allègre et ce dernier déclare un fait qui est pour moi essentiel :
Si l'augmentation du CO² dans l'atmosphère est absolument et indéniablement du à l'activité humaine, rien n'indique que la modification du climat qui s'en suivra sera une catastrophe !
En effet, les taux de CO² étaient bien plus élevés au Jurassique ce qui n'a pas empêché un développement exubérant de la vie (plantes et animaux géants comme les dinosaures).
Et à l'époque gauloise, la méditerranée était à plus de 20 mètres en dessous de son niveau actuel et le climat Normand était Méridional.
Alors avant de qualifier le CO² de polluant il faudrait peut-être savoir ce que l'on considère comme polluant non ?
Le fait est que pour l'administration (juridique et fiscale)
le paramètre CO² est simple et pas cher à mesurer (comme la vitesse des véhicules

).
Or, ce n'est qu'un seul paramètres parmi des milliers et il n'a donc
aucun sens en dehors de son contexte.
Pour finir, quelques contradiction de chiffres :
Si l'Atlantique monte de 1.2mm par an en ce moment, celui de la méditerranée... baisse de 1.3mm sur la même période !
Le réchauffement de la haute atmosphère (dit "réchauffement de la planète) conduit apparement à... un refroidissement de l'Europe de l'ouest.
Alors les prévisions apocalyptique à 100 ans, permettez moi d'en [:ben-der:1]
si on doit se soucier du CO2, on doit alors priviliger le gasoil puisque les voitures emmettent moins de Co2 que les essences, mais si on doit se soucier des particules fines, il faut pas prendre le diesel ....
Comment hierarchiser alors les deux problèmes ??
C'est justement toute la difficulté pour l'administration qui a un mal de chien à traiter un problème dans sa globalité. [:amiralackbar:6]
Il ne faut que quelques paramètres et ces derniers doivent êtres simple pour les calculs (comptable

).
Seulement voila, c'est pas simple.
Dernier exemple :
La mesure de rejet des particules sur les diesels ne se font que par
la masse (le poids).
Or, les spécialistes de la santé indiquent à l'unanimité que
c'est la taille et la composition qui compte plutôt que la masse.
Ben oui, mais si la masse est facile à mesurer à l'opacimètre lors du contrôle technique, la taille des particules et surtout leurs compositions ne peut se faire qu'en laboratoire pour des prix prohibitifs vis-à-vis de mesures systématiques à grande échelle.
Seule solution pragmatique à adopter alors : Plus de particule à rejeter ou alors en quantité infinitésimale.
Et la... seule les installations en usine ou sur les (gros) bateaux à base de filtres électrostatiques peuvent le faire.
Résultat si la mesure est adoptée : Seule les autos GPL, GNV et dans une moindre mesure essence/éthanol pourront rouler.
Et
si l'on veut régler définitivement le problème : tout le monde à l'électrique ou au pneumatique. [:calva76:3]
La vérité sera très certainement entre les deux mais parler de pragmatisme dans l'administration...
[:calva76:2]