Nouveau et heureux saabiste, je me présente Guillaume de Loire Atlantique (44) près de nantes. Je viens d'acquérir ma première Saab : une 9.3 bleue nuit cabriolet en motorisation 2.0T 154cv de 1998 avec intérieur beige clair.
Passionné d'automobile (de TOUTES les autos), je redécouvre enfin le plaisir et les sensations d'une "ancienne" et surtout cet univers Saab atypique qui m'avait déjà marqué dans mon enfance (j'ai 41 ans) de par ses formes à l'encontre de la production de l'époque, son charme intérieur et ses choix techniques décalés...
Le véhicule déniché semble partir d'une base saine. Tenue de route nickel, capote et carrosserie en bel état. Seul défaut, l'absence totale d'historique même si je sais concrètement ce qu'a fait l'ancien propriétaire comme entretien (un mécano qui l'a gardée un an).
J'irai la porter au célèbre Espace Collection -spécialiste Saab- dans 3 semaines (1 mois de délai pour un rdv) que j'avais déjà rencontré pendant ma quête de 9.3 cabrio -qui transpire la passion et le savoir- histoire de faire un p'tit check up.
En tout cas la "saabsportclub academy"


En tout cas, j'ai la banane dès que je la démarre et enclenche la première. Cet intérieur avec cet association bois et couleur beige avec ce petit pare brise donne une impression de confinement façon cocon chaleureux, du moins quand la capote est en place. Sinon ce court parebrise (surtout que je suis grand) fait pleinement profiter des joies et des sensations à l'air libre que nombre de cabrios modernes n'ont plus avec des parebrises trop enveloppants.
Bref je suis aux anges et retrouve d'autres sensations, surtout que je quitte une Clio 3 RS (actuellement en vente), attachante mais aux antipodes de la Saab.
Enfin pour finir, j'aurai juste une petite question : le ventilo se met en route très (trop ?) facilement parfois même 2 min après le démarrage. Certes, il finit par se couper mais redémarre là aussi facilement (en tout cas à basse vitesse).
À quoi cela pu être dû, sachant que l'aiguille de température est tranquille au milieu ?
À très vite

Guillaume