Souvenir d'un jeune mécano des années 40

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Claudibus
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Re: Souvenir d'un jeune mécano des années 40

Message par Claudibus » jeu. oct. 20, 2016 4:53 am

Bonjour Phils : ceci en réponse de ton post du 1/10 à 19:14 sur la rubrique "Présentation de vos Saab" concernant le point de chaînette.

Oui, c'est ça. Le spécialiste en question se nomme Technilock. A l'époque d'après guerre, on roulait beaucoup avec les avant-guerre et nous étions encore loin de la Société de Consommation où l'échange pur et simple est la solution naturelle. Il fallait faire durer et la mécanique était souvent très inventive. On imagine difficilement aujourd'hui ce que représente le remède à apporter à un bloc fendu par le gel. Le bloc fendu était le prix à payer pour la négligence d'ajouter à l'entrée de l'hiver de l'alcool à l'eau de refroidissement. Cela arrivait souvent, mais aujourd'hui l'antigel nous en protège. La réparation classique était le point de chaînette. Perçage et taraudage pour un goujon de 8 mm en cuivre rouge RECUIT au début de la fissure que l'on arase à 1 mm. Suivi de la même opération à la périphérie du précédent et ainsi de suite jusqu'à la fin de la fissure. Pour finir, on mate gentiment le tout qui se laisse faire car le cuivre recuit est très malléable tant qu'il n'est pas retravaillé. Cela forme un tout relativement homogène. Et selon la longueur de la réparation on insère un ou plusieurs traversiers également en point de chaînette. Au sujet de la préparation d'une tige filetée il est à noter que le recuit du cuivre consiste à chauffer (blanc, attention de ne pas aller jusqu'à endommager le filetage) et tremper immédiatement dans l'eau, ceci APRÈS avoir fileté le rond bien entendu. Tant qu'on n'a pas trituré la pièce la malléabilité est grande et cela retrouve la dureté dès que l'organisation cellulaire est re-chahutée.

Il y a pire. Jeune mécano, je m'étais payé une Talbot car elle était bradée en raison d'un bloc moteur maintes fois rafistolé. Un beau 6 cylindre injurié sur toute la longueur de son bloc par un reste de brasure et de points de chaînette mais qui continuait à fuir coté brasure. Alors j'ai formé sur toute la surface latérale du bloc une plaque de cuivre rouge de 2 mm, y compris bien sûr le moindre bossage, et je l'ai fixée sur un joint de klingerit par des vis de 5mm tous les 20 mm sur tout le pourtour. Une véritable oeuvre d'art. Je me demande bien si ce moteur existe encore. Mais ce qu'il y a de sûr c'est que ce fut la fin des fuites.

Que de souvenirs !….

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naindejardin
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Re: Souvenir d'un jeune mécano des années 40

Message par naindejardin » jeu. oct. 20, 2016 10:51 am

Ça, c'est la mécanique qui nous a fait rêver. Aujourd'hui tout est en plastique et on ne répare pas, on remplace. Et les "mécanos" actuels n'ont souvent aucune ingéniosité et ne sont pas foutus de faire un diagnostic d'élimination si la "valise" ne leur dit pas quel est le problème. Bon, à leur décharge beaucoup de problèmes viennent de l'électricité ou de l'électronique.
J'ai encore le souvenir d'un monsieur à la campagne qui s'occupait de la maison de mes grands-parents, il savait tout réparer. J'étais à chaque fois émerveillé par la simplicité, l’ingéniosité et la qualité de ses réparations.

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Claudibus
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Re: Souvenir d'un jeune mécano des années 40

Message par Claudibus » jeu. oct. 20, 2016 12:17 pm

En avançant en âge, pas forcément en sagesse, il me revient de nombreux souvenirs. Il en est un qui me taraude l'esprit tant il me semble irréel. C'est un peu comme si les évènements qui le composent étaient issus tout simplement d'un rêve. Mon père en fut le témoin principal. Malheureusement il nous a quitté. Ceci m'est revenu en mémoire récemment car je n'ai pas de pont ni de fosse et je redoute de plus en plus de me glisser sous la voiture à la merci de quelques chandelles branlantes. Alors me revient en mémoire que lorsque j'avais 22 ans, en 1951, j'avais tout simplement mis une Peugeot 402 sur le flanc et ceci à l'aide des seuls outils du bord dont un cric à crémaillère et de quelques emprunts.

L'affaire se situe en 1951. Je rentrais du service militaire. Mon père était agent commercial pour 16 départements et faisait ses 100.000 km tous les ans. Cette année là, il avait une Peugeot 402 légère. Mécanicien et récemment libéré, je prenais naturellement le volant pour l'emmener faire sa tournée dans l'Est. C'était en Décembre et il neigeait légèrement. A l'entrée de Metz en provenance de Reims, nous coulions tout simplement une bielle. Avais-je été trop vite ? Avais-je regardé le niveau d'huile ?… Je ne m'en souviens plus. A cent mètres plus loin, sur la droite, la station service providentielle jusqu'à laquelle nous poussions la voiture. Le jeune gérant nous indiquait qu'il ne pourrait rien faire pour nous en raison du fait que son mécanicien était sur la route avec l'un des camions de l'entreprise de transport qu'il gérait aussi avec cette station service. (à noter pour les jeunes : le mot "service" accolé à "station" voulait vraiment dire quelque chose à l'époque. Aujourd'hui, on cherche vainement le "service")...Ce qu'il pouvait faire, c'était de me laisser utiliser un emplacement dans l'entrepôt actuellement vide de camions. Ledit entrepôt se situait jusque derrière la gare. Il faisait plus de 100 m2, sol en terre battue, et toit partiellement découvert, tuiles manquantes, avec petit tas de neige sous le trou béant. On peut ajouter : froid de canard. Je conseillais à mon père d'effectuer sa tournée par le train et de me retrouver ici dans 4 jours. Et, effectivement lorsqu'il arriva en ce vendredi soir, la voiture était prête pour de nouvelles aventures. En 4 jours, en utilisant les outils du bord plus quelques emprunts d'outils divers, j'avais mis la voiture sur le flanc, démonté culasse et carter, sorti la bielle coulée, emprunté un pied à coulisse à l'atelier qui devait me réguler la bielle, acheté un grattoir et un brunissoir, seringué le circuit d'huile, ajusté la bielle sur son maneton, remonté le tout et remis la voiture sur ses pieds. Et tout ça dans un froid intense. Le gérant de l'entreprise de transport ne voulait plus me laisser partir, il m'offrait sans réserve le poste de contremaître. C'est exactement comme cela que cette aventure s'est déroulée. Devant les difficultés que je rencontre 65 ans plus tard à faire des choses bien moins compliquées, j'en arrive à imaginer, pas sérieusement toutefois, que cette aventure est issue de mes rêves. Je serais le plus heureux des hommes si je pouvais retrouver un seul témoin.

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Re: Souvenir d'un jeune mécano des années 40

Message par oldsaaber » jeu. oct. 20, 2016 12:51 pm

Bonjour Claudibus,
Pour commencer, je constate que, depuis ton arrivée, je ne suis plus le doyen du SSC, tu me bats de deux ans. Je ne vais pas, pour autant, changer mon pseudonyme :) . J’apprécie ton récit de la mécanique de grand-père. Je n'étais pas mécanicien automobile, mais électromécanicien. J'ai aussi quelques souvenirs de dépannage en bord de route (rien de comparable à tes œuvres) que je raconterai peut-être...

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Claudibus
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Re: Souvenir d'un jeune mécano des années 40

Message par Claudibus » jeu. oct. 20, 2016 1:06 pm

Désolé oldsaaber, si j'avais le choix !.... De toutes manières, il n'y a que quelques semaines que je suis Saabiste et j'ai tout à apprendre. En plus, l'administrateur m'a qualifié, je suis un petit Saabiste, ce que j'accepte avec plaisir. Mon vendeur qui était un excellent mécanicien ancien, Suisse Allemland de surcroît, m'a simplement dit en me la livrant : ... il n'y a strictement rien à y faire... Et puis, tout ça est beaucoup trop récent et compliqué pour moi, je me garderai bien d'y toucher.

gnomonien

Re: Souvenir d'un jeune mécano des années 40

Message par gnomonien » jeu. oct. 20, 2016 1:06 pm

Bonjour et bienvenu :)

Oui en effet les mecanos d'aujourd'hui meme si ils ont d'autres connaissances ne sont pas a la hauteur des anciens ( en meme temps ce n'est pas ce qu'on leurs demande ( le chiffre toujours le chiffre ... )

Mon paternel ( chez un equipementier auto ) et mon grands pere ( mecanicien aeronautique protos ) etaient parfois depite des mes connaissances en bac ...
Pourtant je faisais soi disant partis du meilleur lycee de l'academie pour ce bac et partis des 5 meilleurs de la promo en 96 .
Bah vla le niveau de la promo .. on etaient tellement sur de nous qu'un prof ( un vrai ) , agace de notre attitude a eu la bonne idee de nous faire passer le CAP de mecanique generale de 1978 , moyenne generale de la classe : 2 et aucune note au dessus de la moyenne :D
Ha ca programmer , diag etc on savaient mais percer , les alliages , le pourquoi du comment ....

J'ai eu la chance d'avoir eu aussi l'experience du pere et du grand plus un vieux de la vieille dans mes debuts .
J'en suis actuellement a lire et essayer de comprendre aussi faut le dire , les livres / manuels de cours du grand pere et du pere pour vraiment avoir les bases du moteur a explosion , de l'electricite etc

Maintenant entre deux ages , je me rend compte que les jeunes de 20 ans diplomes que je vois arrives sont encore pires que je ne l'etait apres mon bac ....

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Re: Souvenir d'un jeune mécano des années 40

Message par toto435 » jeu. oct. 20, 2016 1:13 pm

Chouettes toutes ces histoires !

Continuez :)
Saab 900 Turbo 16 Cabrio Airflow 1989 - Porsche 928 S4 1987 - BMW 530e 2018

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Re: Souvenir d'un jeune mécano des années 40

Message par Claudibus » jeu. oct. 20, 2016 1:25 pm

C'est vrai que la mécanique est bien différente aujourd'hui. Je me raconte et ça fait plaisir, mais je dois aussi dire que j'étais un rigolo à côté d'un de mes beau-frères qui était, lui, un sommet dans ce domaine, il fut de tout temps mon maître. Je raconte brièvement l'un de ses nombreux morceaux de bravoure. En 1943, en hiver, sur le plateau de Langres, de nuit, sous une tempête de neige, juste protégé d'un parapluie secourable tenu par mon père, il a déculassé un gros moteur de camion OM (Saurer Italien) pour faire une queue d'aronde en taillant une partie libre dans le joint de culasse afin de réparer la partie fuyarde entre deux cylindres par l'insertion de ladite queue d'aronde, tout ça avec les moyens du bord.

Encore plus fort, un peu plus tard, il a transformé ce même gros moteur OM essence en diesel et ça a marché parfaitement bien. Je ne sais pas qui peut faire ça...

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Claudibus
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Re: Souvenir d'un jeune mécano des années 40

Message par Claudibus » jeu. oct. 20, 2016 1:37 pm

Je crois que les mécaniciens d'aujourd'hui, placés dans le même environnement et circonstances, seraient probablement plus futés que nous car les techniques modernes sont plus contraignantes et enrichissantes pour l'esprit. Simplement il ne sont pas et ne seront probablement jamais confrontés aux problèmes et environnements qui étaient les nôtre à l'époque. Donc, à bannir les "c'était mieux dans le temps" et à remplacer par "c'était différent".

gnomonien

Re: Souvenir d'un jeune mécano des années 40

Message par gnomonien » jeu. oct. 20, 2016 3:11 pm

Different certes mais il n'est quand meme pas logique qu'un gars sortant de BEP auto ou maintenance ne sache pas juste par ex couper a la scie a metaux droit sur 10 cm.
En bricolant avec le vieux , il s'etait rendu compte quand j'etais en 2e annee de BEP que j'etais incapable de couper vraiment bien droit .
Il avait sortie une piece de 5frs et la couper en deux dans le sens de la tranche devant moi , puis il en a sortie quelques unes de sa voiture en me disant que si je pourrais prendre ma mobylette quand j'aurais fais de meme .
Bah ce jour la je n'ai pas pris la mob , pas assez de pieces de 5frs ...
J'ai finis par y arriver mais bien plus tard .

Non faut pas rever on est devenu des changeurs de pieces , directement issue de la societe de consommation ...

Je le vois bien au taf , on ne change pas une bielle , on prend un moteur en E.S
Reste les culasses , les distribs , a la limite les arbres a cames et les poussoirs sinon on change le tout .
Aucun ne re-font les turbos direct turbos en ES

gnomonien

Re: Souvenir d'un jeune mécano des années 40

Message par gnomonien » jeu. oct. 20, 2016 3:36 pm

Ça, c'est la mécanique qui nous a fait rêver. Aujourd'hui tout est en plastique et on ne répare pas, on remplace. Et les "mécanos" actuels n'ont souvent aucune ingéniosité et ne sont pas foutus de faire un diagnostic d'élimination si la "valise" ne leur dit pas quel est le problème. Bon,
Le soucis reside dans le fait que pour trouver il faut deja comprendre comment ca fonctionne dans le detail .
Et tout ce que l'on explique c'est comment suivre un protocole de diag en rapport avec le code .
Va parler du cycle de Beau de Rochas a un mecano de moins de 40 ans , ca va lui parler vaguement car on lui aura fait un cours de deux heures une fois dessus mais dans le detail ....
Je l'ai appris dans le detail , a plus de 30 ans sur un livre du grand pere de 1954 , alors que ca faisait presque 10 ans que j'etais dans le depannage ...

Ps merde ca y est je parle/ecris comme un vieux "con" ...

PHILS
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Re: Souvenir d'un jeune mécano des années 40

Message par PHILS » jeu. oct. 20, 2016 4:44 pm

C'est super tous ces échanges, un grand plaisir à vous lire tous

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Re: Souvenir d'un jeune mécano des années 40

Message par Claudibus » jeu. oct. 20, 2016 5:15 pm

Il faut aussi que ça plaise. Si c'est simplement alimentaire, ou bien qu'on est passé par là par hasard, parce qu'il ne restait que cette voie, ça n'a évidemment pas beaucoup de chance de s'épanouir. Il semblerait que le travail manuel soit un peu discrédité, mais n'en n'a-t'il pas toujours été ainsi ?...

"On" m'a mis chez les arpettes à 14 ans parce qu'on ne savait plus quoi faire de moi et c'est là, à taper le burin et le bédane à longueur de journées, que j'ai montré que j'étais un infatigable travailleur. Enfin quelque chose me plaisait. Il eut été préférable de m'y mettre à 12 ans, dès la sixième terminée.

Je pense aussi que les gènes ne sont pas étrangers à la chose. Pratiquement tous mes aïeux paternels, étrangement sauf mon père, étaient manuels.



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Re: Souvenir d'un jeune mécano des années 40

Message par gnomonien » jeu. oct. 20, 2016 5:44 pm

Je pense aussi que l'environnement famillial joue .

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Re: Souvenir d'un jeune mécano des années 40

Message par saabeibeu » jeu. oct. 20, 2016 10:09 pm

Tout ce que tu racontes Claudibus,ça existe encore aujourd'hui mais sans la neige,sous le soleil d’Afrique. ;)

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Re: Souvenir d'un jeune mécano des années 40

Message par jeffk21 » ven. oct. 21, 2016 12:53 am

[:nicklas76:1]

Bon, je m'installe au chaud et j'attends la suite :D

Mes seuls faits d'arme en mécanique, c'est le changement de segments d'un Peugeot 102 quand j'avais 14/15 ans, alors :whistle: :sweat:

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Re: Souvenir d'un jeune mécano des années 40

Message par Claudibus » ven. oct. 21, 2016 4:18 am

J'aime pas trop le froid mais j'imagine que le chaud d'Afrique c'est encore pire. Et puis, moi j'ai eu la chance que ça m'arrive dans une grande ville et que j'y trouve un rectifieur. A la lumière de ma vision d'aujourd'hui, j'aurais dû me contenter de chercher et trouver un atelier et faire faire le boulot tout simplement. Pourquoi je raconte ça à ma marmaille ? c'est pour leur montrer que l'on doit toujours se mettre en avant et prendre des risques... Mais à la lumière de réflexions plus récentes, celles de la vieillesse, j'aurais tendance à penser que ce serait plutôt une c-nnerie et qu'il vaudrait mieux se planquer !... ah !.. va savoir !....

Quant à changer des segments à 14,15 ans, c'est top, mais peut-être aussi un peu de la même veine.

Mais refait-t'on la vie ?.... Même si le nombre de c...ries est incalculable, ce qui serait un peu mon cas, je pense qu'il vaut mieux cultiver la fierté de les avoir au moins faites !... car même nombreuses, elles ne peuvent qu'être en minorité et c'est le reste qui compte vraiment.

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Re: Souvenir d'un jeune mécano des années 40

Message par naindejardin » ven. oct. 21, 2016 10:59 am

Et puis au moins comme ça t'as une vie et des expériences à te remémorer et à raconter. C'est sympa d'avoir quelque chose à transmettre :)

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Re: Souvenir d'un jeune mécano des années 40

Message par Claudibus » ven. oct. 21, 2016 6:31 pm

jeffk21 si vous attendez une narration, faudrait peut-être poser une question sur un sujet qui vous intéresse. J'ai fait tellement de métiers et de choses différentes qu'il y aura peut-être matière à répondre avec un peu de chance.

PHILS
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Re: Souvenir d'un jeune mécano des années 40

Message par PHILS » ven. oct. 21, 2016 9:35 pm

Parles nous des Talbo, de l'usine , du montage dans les chaines, de ce qui s'est passé au rachat par Simca, des grands prix...
Mis à part le fait qu'on est un brin envoutés par les Saab on aime quasiment tous les belles anciennes surtout si elle est de chez nous.

Et on serait ravis si en + tu avais des photos.
Bonne soirée à toi

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