ET SI NOUS FAISIONS UN CONCOURS DE PHOTOS

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vasco
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Re: ET SI NOUS FAISIONS UN CONCOURS DE PHOTOS

Message par vasco » jeu. avr. 17, 2014 6:11 pm

bravo, une photo , chapeau messieurs Image
comme le dit si bien ERIC c'est fini
COLOSSAL vainqueur
j'ai nommé
j'ai nommé
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milou_info
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Re: ET SI NOUS FAISIONS UN CONCOURS DE PHOTOS

Message par milou_info » jeu. avr. 17, 2014 7:09 pm

Ben attends, pas si viiiiite !

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vasco
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Re: ET SI NOUS FAISIONS UN CONCOURS DE PHOTOS

Message par vasco » jeu. avr. 24, 2014 2:10 pm

du 17 au 24 ça aurait pu
c'est dommage, mais comme ça n'a pas l'air ni la chanson d'intéresser grand monde
et que je détiens le nombre désiré de message postés
on ferme ? allez Milou, allez Eric allez. si vous préférez une histoire

je suis fier comme un bar tabac peut être fier de ses terrasses chauffées.
Tes voyages !
Tu n’en as pas dit assez sur tes voyages Africains.
Je préviens mes oies très amicalement mais très fermement,
Le désert c’est tout ou rien, ou vous vous réfugiez sous l’aile de l’avion et vous n’en bougez que par la force des baïonnettes pour remonter dedans ou c’est le grand saut mais avec une banane, une envie de tout pêter de tout voir de tout découvrir.
A bon entendeur SALUT.
et comme dit un proverbe arabe; SALETé DE TEMPS QUI PASSE. LE SEUL MAITRE DE CEUX QUI N'ONT PAS DE MAITRE

J’ai organisé et réalisé 5 voyages en Afrique du Nord pour aller avec des jeunes copains aventuriers volontaires vendre des pigeots en Algérie, au Niger, en Tunisie, et en Egypte, comment voudriez vous que je m’y retrouve moi avec tous ces voyages toutes ces voitures, tous ces cailloux et grains de sable.

Une seule chose est sûre, LE MONDE est magnifique, seul l'homme est laid.(celui là il est de moi)

et quand je vois ma saab ici sur BELLE ILE couverte de sable fin, j'ai une pensée pour le Ténéré, ou le Niger et ses vents chauds qui me font tellement rêver.
MERCI.

Je vais être obligé de faire un mélange savant ou plutôt savamment étudié
Celui dont je me souviendrai toute ma vie est sans nul doute le first voyage, puisque, improbable et inconnu,

Heureusement ne sévissaient pas encore les coupeurs de tîtes, ni les prises d’otages.

Il fallait bien six mois par et entre deux voyages pour organiser, préparer ces satanées caisses voitures Qui devaient au moins nous emmener
Plus pourries les unes que les autres achetées moins de 500 balles pour être revendues 10 fois 15 fois le prix, normal oui je vous vois venir mais à ce moment là Missié les autos vendues par moi-même roulaient
Y z’ont rien de chez rien les pôvres Arabes. Alors Biseness is biseness
Une fois rendues présentables et roulantes 15000 Kms minimum (fallait assurer quand même surtout dans ces conditions)
Commençait le chargement de la galerie, du coffre, et des places arrières
Les bidons vides (pleins c’est plus lourds) les pneus pour monnayer l’essence ou le mazout,
Les bonbons c’est tellement bon, les stylos, les cahiers, les gommes, les crayons, les buvards, les pages blanches, les fringues, des sandows les pompes, la pompe à air, à graisse, à tout faire quoi !
Le fil de cuivre des batteries, des batteries aussi de vieux démarreurs, alternateurs, des poignées de courroies, des trucs de brics et de brocs qui pouvaient tout aussi bien nous servir qu’être vendues pour bouffir ou dormir, fallait juste savoir causer et demander.
Rien que pour les préparatifs (parler, raconter, imaginer et j’en passe) l’à bien fallut compter un fût de bière, (ceux qui ont lu mon premier chef d’eouvre savent de quoi je parle)
Un second fût pour tout charger, mais en plusieurs nuitées
Un troisième pour la route, longue, très longue route, et chaude, mais chaude,
Ça s’appelle investir avec retour sur investissement
Je vous préviens je veux bien écrire mais j’ai pas envie d’être sérieux
Que les bons entendeurs s’assoient, les autres peuvent se casser
Je continue
Enfin
Je ne vais pas tarder à continuer
Bientôt
Bois une mousse CHIMAY Ambrée Belge et j’arrive


Bon ou en étais-je, (houlà ça tangue si ça part comme ça, ça va pas l’faire, j’le sens)

Bon, alors ce soir on fixe la date du départ
Très grand soir, vous imaginez 2+2 = 4 lascars qui vont se lancer dans une aventure de
15 000kms mini qui sont pas sûr de rentrer, femmes et enfants sur le trottoir à minuit moins 10 qui agitent des mouchoirs sur lesquels ils et elles ont pleuré (m’en fouti mi j’avais pas de femme ni d’enfants présents, seulement un bistro un plongeur ARABE et une caissière, barmaid, laveuse de salle, serveuse, bref une femme à tout faire, comme un homme quoi !) J’avais compté que pendant mon absence elle me piquerait une centaine de francs par jour.
Bien m’en a pris elle n’a pas oser piquer plus.

Bon alors une Tite mousse une dernière pour la route deux Watous BRUNES mais BELGE de
75 cl pour 4 une misère, et tout le monde va se coucher
C’était la répétition, fallait pas la rater celle là
3 répètes plus loin (fallait être vraiment mais vraiment sûrs)
Nous v’la prêt, bon alors on y va ? On y va.
Si si c’était la bonne, nous sommes revenus 5 semaines après alors et en plus tout bronzé (faut avouer que pour un mois de février sans les bonnets les bâtons et les skis ça fait assez bizarre)
Bizarre vous avez dit bizarre, comme c’est bizarre.

Présentation des furieux ;

STEPHANE 22 ans habitant Ris – Orangis à qui appartient la 404 grise qui va devenir noir (pas lui hein ! la 404) ministrable donc est donc mon co-pilote
Même si il en avait envie il pourrait pas me larguer j’ai toute la bière

Derrière suivent Robert 32 ans et Gégène 35 de Corbeil-Essonnes deux (ça fait malfrats non !) géotrouvetout de la mécanique (Snecma moteur d’avion qui bossent) heu ! Dites les garçons c’est des pigeots qu’on emmènent
Et alors c’est des moteurs non !
Ok ok ce sont des moteurs.

Bon c’est pas tout ça qui c’est qui paie sa mousse
Allez fait pêter.

Nous étions sortis de Corbeil quand même et nous prenions des forces avant d’attaquer le monstre : un ruban de béton appelé autoroute jusqu’à Gènes (Italie)

Pas de bleus ni de gendys de toute façon en 1978 ils auraient fini le tonneau de mousse avec nous.

Bien bien chaud et en chantant s’il vous plait, nous avons roulé, roulé, roulé, fait du gasoil, puis roulé, roulé une ENORME partie de la nuit pour nous retrouver au petit matin sur un parking d’autoroute
Je ne sais plus ou na !

Les provisions liquides sont bien là et c’est le PRINCIPAL, entamer un voyage pareil sans biscuit, ça va pas la tête.


Direction L’ITALIE, à nous les ………. Pâtes oui mais des pans- zanis

Gènes le port, c’est curieux ça rigole moins, je crois que nous prenons enfin et seulement conscience du périple sur les terres hostiles que nous allons faire. Et découvrir.
Bon d’accord rien à voir avec l’APOLLO lunaire mais quand même.
Billets, billets, nous embarquons, devant nous pleins de pigeots de et sur 3 étages, matelas en haut,
gazinière frigo machines qui lavent encore un peu le linge la vaisselle en tout genre, mousmés, gamins, gamines les lames de ressorts frottent en haut frottent en bas bref ça frotte très dur mais ça avance. Tlès tlès bonnes voitures comme ils disent la bas
Gènes Tunis 6 photos plus tard nous arrivons à retrouver nos pigeots intactes et nous débarquons, chaleur, puanteur, nous assaillent nous les petits FRANCSOUSES


Quand vous apercevez sur la route, trottoir une grande flaque d’eau de mazout, d’essence, c’est là pompe à essence
Il faut faire les pleins, un bidoun d’eau pour le thé, un bidoun d’eau froide qui ne le restera pas, et le reste en mazout diésel
Je marchande des vieux pneus contre l’eau et le mazout
Et le pompiste nous indique que pour avoir de l’eau froide il faut acheter des peaux de chèvres retournées et cousues qui seront donc accrochées aux rétroviseurs des portes avant
Ça ma coûte encore un pneu mais ça nous autorise à boire le pastis de Marseille plus frais que sur la Canebière et ce grâce et même la GOURBA ( ?) côté soleil toute la journée
En route nous doublons des carrioles bricolées, bidouillées avec du fil de fer genre un bout de 40 cm de vieux pneus qui entoure un pneu crevé mais qui au dire du proprio ne peut être jeté car tout neuf, nous bakchichons contre des sous Tunisiens un pneu alors tout neuf qui n’a pas loin de 40000 Kms mais contre une poignée de Dinars TUNISIEN, grand sourire, heureux des deux cotés, amicales poignée de mains et nous continuons
HAMMAMET, Buvons un thé au Café des Désirs et ses portes repeintes en bleu et ses banquettes en pierres où tu bois le thé allongés
Puis continuons
Nous traversons de vrais BLEDS sans importance pour arriver à KAIROUAN ville si l’on peut appeler ça une ville ça pour grouiller ça grouille, pleins de tapis sur les murs nous indique que c’est bien là, un grande porte en pierres nous arrivons à l’usine ! Ça pue, mais ça pue comme 200000 chiens crevés mais dans toute la ville, (Normal il y a plus de chiens que d’habitants) laissés à l’abandon dans le désert. Pouah, j’en ai encore la nausée, mais comme nous nous habituons à tout nous surmontons notre dégoût et visitons les trous bleus jaunes rouges, et ocres.
L’endroit ou ils font les teintures, les tapis terminés nous achetons les plus nazes pour mécaniquer ou pour servir de sous souche à nos matelas sousses-sbires
Les seuls qui résisteront qu’il a dit le vendeur aux puces de ST OUEN
Une journée la dedans nous suffit et tirons sur TOZEUR passage de douane obligé entre la Tunisie et l ’Algérie sur notre route (la seule) de petites dunes de sable tout à fait franchissables
Mais qui se déplacent au gré du vent nous annonce que le vrai désert n’est pas loin,
Premier essais d’ensablements dans les dunettes , normal le goudron de 2 cm est en dessous et nous assure de repartir alors nous passons la journée à nous tester, ensablements, pelles alu, plaques désensablement alu, ou ferraille, (terrains d’aviation militaire) ce que l’on à trouvé. J’ai au cours de mes voyages pratiquement essayé tout ce qui ce fait de mieux dans le genre, number one les plaques rigides de terrains d’aviation mais en alu c’est hyper moins lourd.
Technique pour éviter, technique pour en sortir, et lorsque nous trouvions une plaque de Fesch Fesch (sable beaucoup plus fin) nous lancions une voiture dessus
Juste pour voir, de plus près 100000 dollars au soleil
T’as une barre de remorquage
Quand tu roules devant moi, j’ai tout s’qu’il faut, j’ai même un moteur de rechange, remarque que cette fois ci on aura pas à creuser, c’est déjà ça, parce que l’autre fois on a été à deux doigts d’appeler les …..Spéléologues (Mon Très Cher BLIER aujourd'hui disparu.)
Alors je préfère avoir des soldats bien entraînés et près à envisager toutes les situations même les pires, (merde v’la sans doute l’esprit para qui refait surface).Tel le bisou amical des vipères à cornes qui ont été massacrées à coup de pelle ou le moins pire devoir laisser une voiture cassée dans le désert ou j’ai vu de mes propres yeux un autocar et pas mal de voitures couchés sur le côté ou pas un rivet pas un boulon pas une vis étaient encore présents. Si ils avaient pu piquer la peinture ils l’auraient fait. Mais le vent et le soleil s’en sont occupés.

Un peu de tourisme ne nous fera pas de mal à l’aller puisque au retour nous devrions prendre l’avion.
Tunis donc, Hammam, Grombalia, HAMMAMET, Bou Ficha,
Enfida, SOUSSE, KAIROUAN, Djilma, GAFSA, TOZEUR Nefta, nous laissons plein Ouest le Chott el Djerid (lac salé) ou sur un prochain voyage en Land Rover j’irai faire un tour de moto )
C’est après EL OUED que nous sommes vraiment plongés dans la semoule plein sud Ouest direction Djanet LE LONG DE LA FRONTIERE Libyenne Nous sommes à quelques Kms de TOGGOURT à ne pas confondre avec TOBROUK qui se situe en LYBIE devenu plus que célèbre avec AZNAVOUR,
BIRAUD LINO « UN TAXI POUR TOBROUK » puis HAASI MESSAOUD brefle que du beau, du connu du merveilleux
Plein de sable et de pétrole. Evidemment que nous y allons !
Un gros dilemme se présente route plein OUEST ou route EST pour éviter le grand ERG ORIENTAL ou il ni a rien, pas assez de villes Donc de ravitaillement pour nous en tous cas. Rien que du désert à perte de vue, Un avant goût du Ténéré.
Aux votes voix DE LA RAISON c’est direction plein sud EST en passant par Ouargla, nous remontons plein Nord pour nous retrouver devant Ghardaïa la colline aux sept villes bleues et blanches dans la nuit quelques rues diffusent une lumière électrique très jaune, c’est absolument fantastique. Surtout sous un ciel très pur de couleur bleu nuit extrêmement étoilé. C’est du jamais vu. Nous décidons donc de dormir dehors à la belle étoile mais en dehors de la ville c’est le cas de le dire.
Sur les conseils de quelques uns nous creusons autour du bivouac et surtout de nos matelas un petit fossé pour éviter que les vipères ne remontent, en fait le sable beaucoup plus frais les empêchera de venir nous rendre visite
Sur le coup de 4 heures l’humidité descend et recouvre nos duvets et nos pare brises de givre
Il nous faut donc gratter vers 6, 7 heurs du matin nos pares brises bien gelés. Route EL GOELA, NOUS TRVERSONS LE PLATEAU DE TJDEMAIL pour arriver à In Salah. La vache qu’est ce qu’il peut faire chaud surtout en Février.
Nous buvons du thé chaud comme des assoiffés et du pastis le soir
Il nous reste pas mal de patates et de lard, si vous n’avez jamais goûté des patates au lard en plein désert sous les yeux ébahis et les narines fermées des locaux, ces cons là arrivent à décerner l’odeur du porc cuit, donc un jour, ils ont essayé, vous n’avez rien fait, ni rien vu
Il y a bien longtemps que notre réserve de pneus diminue mais il y en a encore, pas un seul litre n’a été payé pendant notre périple. Que des bakchichs.
Au petit matin à la fraîche nous partons pour TAM ; TAMMANRASSET.
Où les flics locaux nous attendent. Je passe 24 heures au poste des poulets pour tenue indécente (je suis pas à poil je suis en short j’ai eu tellement chaud pendant la traversée du désert que j’ai tout viré sauf mon short, c’est presque considéré comme une exhibition, bandes de nazes. mais rien y fait et pendant que mes potes font les pleins et que les poulets jouent aux dames sur un banc avec des cailloux blancs et noirs moi j’attends leur bon plaisir. Ou un gradé pour me casser.
Libéré à la tombée de la nuit nous nous cassons vite fait sous les regards mauvais des poulets un vieux reste du FLN certainement.
Je suis en rogne, je l’ai mauvaise, mais la route m’apaise et les décors somptueux du paysage mettent fin à mon angoisse, ce qui ne nous empêche pas de devenir extrêmement vigilants. Nous sommes en route pour le massif du HOGGAR pour monter au refuge du Père de Foucault, des couleurs extraordinaires, un ciel violet sur des roches volcaniques noires, c’est d’une beauté à couper le souffle. Une cabane de pierres, un banc en pierres qui devait lui servir de lit, une chandelle, une vieille gamelle, un vieux Christ sur une naïve croix de bois, une table en pierre et c’est presque tout. Mais un point de vue fabuleux du haut de l’ermitage sur les monts balsamiques en face.
Une journée entière à monter et à descendre l’ASSEKREM 2918 mètres tout de même (c’est beau d’être jeune) nous prenons la piste de Djanet pour voir que dis-je contempler les gravures rupestres les plus belles et les mieux conservées du monde. En descendant avec nos voitures le massif du Hoggar nous sommes arrêtés sur la piste par une bande de TOUHAREGS armés jusqu’aux dents, (deux dents pour UN juste sur le devant) et de force en parlant en Berbère en Français Arabe nous conduisent jusqu’à leur campement fait de toile tendue, entouré de biquettes maléfiques et de dromadaires squelettiques. J’avoue que de commencer la longue liste des otages ne me fait bander que d’une.
Mais non ! Il nous entraînent sous une tente et arrivent à nous faire comprendre que si nous sauvons une petite fille nous pourrons repartir le ventre plein. Le seul truc qui ne collait pas c’est que nous étions tout sauf docteur, enfin pendant 5 minutes seulement. Et comme nous avions de l’aspirine un quart de comprimé à suffit pour la rétablir. Un énorme bol quoi ! Il est vrai aussi que l’aspirine est un produit très efficace sur une enfant qui n’avait jamais rien avalé en médicaments
Bref nous étions avec et la gamine sauvés alors les TOUHAREGS ont tué la chèvre et les femmes ont fait des galettes de pain frais en s’assaillant en tailleur la djellaba traînant par terre et comme de temps en temps pour ramollir la pâte qu’elles confectionnaient avec amour, et bien de temps en temps plutôt que de se lever et aller chercher de l’eau elles envoyaient un petit jet d’urine sur la galette.
Le tout sur fond musical tamtams gamelles SVP.
Il a même fallut danser avec les jeunes mousmés qui n’ont de jeunes ! Que la djellaba. Désolé.

Puis la brique de chèvre bien bouillie, bien dégueux, a été servie dans une gamelle bleue émaillée mais écaillée aussi et assis en rond sur des tapis qui n’avaient de tapis que le nom et après la coutume des 3 thés (excellents) la gamelle à tournée. Les doigts servant de fourchette et le lait de biquette servit dans une cabasse en bois et pas des îles suis là et que j’te fasse tourner le lait et la biquette froide, j’ai du bouffer un paquet entier de gauloises à la place de leur bouffe et je me souviens même avoir été tenter de foutre le camp, mais putaing d’affront. Alors je suis resté et j’ai fait semblant d’aimer le gras de chèvre froid.
Une expérience à ne pas tenter du tout mais pas du tout pour les santés fragiles comme moi. Doté d’une petite nature
Les autres je sais plus. Mais pareil certainement.
FUITE le lendemain matin sur IDELES qui me rappelle VIDELES un bled du 91, mais que le nom.
Arrivée sur IDELES en pleine classe de gamins et gamines
Ils sortent de la classe en courant et en hurlant
Rien que de voir leurs sourires et leurs yeux tu donnes tout ce que tu as, les crayons, les bonbons, les carnets, les vieux bouquins illustrés ou pas tout quoi,
Et voilà ti pas que pour nous remercier ils veulent nous inviter à bouffir le chevreau cuit.


J’ai vu, imaginé la suite et après avoir parlementé comme un malade et laissé une bobine de cuivre au chef sorcier, marabout, forgeron du village nous avons vraiment fuit IDELES j’y retournerai bien boire les 3 thés mais c’est tout, j’suis pas vicieux non plus.
Encore sous le charme de tous ces mômes hurleurs nous arrivons quand même à DJANET un sacré bled ravitaillé par les corbeaux (deux avions la semaine si le temps le permet) coincé au pied d’une falaise, mais les patates au lard nous font un bien fou comme de revivre, Repos, Repos Repos.
Nous allons même nous baigner dans une GELTA toute verte, bien entendu nous restons habillés pour éviter les petites bêtes, mais nous nous en moquons éperdument toute à la joie de prendre un bon bain. Le premier et le dernier avant longtemps.
Il fait évidemment un temps superbe et le temps de rentrer nous somment tous secs.
Nous nous mettons à la recherche d’un guide pour voir ce que nous sommes venus voir, les gravures rupestres.
Le gus trouvé nous pille grave.Les pneus ne suffisent plus, (mais il en restera) Il faudra des chameaux ou des ânes pour trimbaler les couchages, la bouffe la flotte bref c’est une mini caravane 5 lascars 2 chameaux 3 ânes chargés comme des mules qui s’élancent sur les sentiers de la falaise pour rejoindre le plateau du TASSILI N’AJJER. C’est déjà hyper éloigné sur la carte
Mais à pied j’ne vous raconte pas. Nous arrivons donc à ces fameuses grottes, c’est extraordinaire de couleurs, d’animaux, d’hommes de femmes, d’enfants, de guerriers, d’armes. Le tout parfaitement conservé. M A G N I F I Q U E. Ce qui l’est moins c’est qu’au détour d’un chemin de montagne nous apercevons en contre bas à une centaine de mètres une caravane pédestre de marchands d’esclaves des TOUAHREGS armés entourant des noirs enchaînés, merdum, et nous sommes au xx siècles
En 1978 brrr j’ai froid dans le dos heureusement que le guide a des yeux perçants et qu’il a une certaine habitude du système sinon
Va savoir ?
Encore deux jours à glander, puis route TAM pour le NIGER. Dans ce très grand périple nous nous retrouvons à ARLIT
NORD NIGER. ARLIT est juste une mine d’uranium à ciel ouvert exploitée par des Français. Alors je ne vous raconte pas l’accueil
Contre des nouvelles de France nous sommes reçus mieux que des
Princes Arabes il y a bien longtemps déjà que nous n’avons plus de bière et que nous n’avons pris une douche. Ici la Heineken et la douche coulent à flot, il y a même une piscine et des courses de stock cars, une équipe nous prend sous son aile et veulent nous acheter notre 404 pour 5000 francs cash. Pas très chaud de laisser ROBERT et Gégène tout seul sur la piste pour NIAMEY mais faisant contre mauvaise fortune bon cœur nous leur laissons la 404, il veulent faire du stock cars avec, depuis bien longtemps les vitres avant sont dans le bas des portes, les phares avant dans le coffre et comme tout part en couilles nous acceptons mais négocions tout de même notre arrivée à NIAMEY. Bien longtemps après, Robert et Gégène s’en vont et nous nous retournons à notre Heineken bien fraîche, évidemment ils ont fait le plein de bières de saucisson de cassoulet et du reste, pour ce qui est de notre départ nous avons négocié un avion
Un copain de l’acheteur est pilote sur la ligne régulière ARLIT NIAMEY donc il n’y a plus qu’à attendre
Remarquez qu’attendre dans ces conditions pendant que les deux autres roulent vers la capitale Nigérienne avec LA bonne dose de soucis que l’on a connu n’est pas mauvaise du tout.
Deux jours après l’avion arrivent en atterrissant sur la piste dans une tempête de sable provoquée par lui seul.
Pour monter à bord et découvrir 4 sièges défoncés nous devons pour nous y asseoir pousser, déplacer, des caisses en tout genre mais surtout des caisses de poulets. Des chèvres aussi feront partie du voyage. Parlottes entre l’acheteur de notre voiture et le pilote et nous décollons enfin de la piste, C’est bien une piste je vous confirme
Le décollage ne se passe pas trop mal malgré les trous et les bosses
Après 2 ou 3 tours de la mine et quelques battements d’ailes certainement pour de très touchants adieux, enfin route NIAMEY
Une pensée amicale pour ceux et celles qui restent en bas, puis plus tard pour nos copains qui doivent en baver dans leur 403 bâchée pleine de poussière nous survolons la grande ville après 3 petits survols (ça doit être une manie ou manière de dire BONJOUR) nous atterrissons
à NIAMEY.
Bon ce n’est pas tout ça !
Où se trouve un hôtel pas cher ICI ?
Pas questions d’hôtel ici, vous venez dormir à la maison en attendant vos copains.
C’est donc le pilote chef qui parle.
T’es sûr qu’on ne va pas déranger ?
Mais non au contraire, notre maison vivra un peu puisque je dois repartir ce soir
Dans ce cas pourquoi pas !
Nous débarquons donc dans une villa meublée locale et souvenirs européens avec une ribambelle de jardiniers, femmes de ménage, cuisinières, femmes de chambre etc.….
Bref de quoi attendre Robert et Gégène les pieds en éventail dans le plus sympa des conforts. En attendant promenades en ville, souks
Et nos compères débarquent à l’improviste, comme toujours.
POUVIEZ PAS PRENDRE 5 MINUTES DE PLUS, c’est vrai quoi ! toujours dérangés en pleine sieste.
Toujours est-il que maintenant nous avons une autre voiture à vendre
Vendue en trois coups de cuillère à pot, assez chère pour qu’ils se permettent de rentrer à Paris par n’avion. (De toute façon pas trop le choix)
Surprise surprise n’avait pas encore été inventé que nous voilà désignés (j’ai comme un doute sur notre copain l’avionneur, mais chut)
Nous voilà désignés dis ai je pour le vol inaugural du PREMIER AIRBUS A 300 pour LE PREMIER VOL INAUGURABLE Niamey > Paris.
Si vous n’avez jamais vu un A 300 vide, ben celui-là il l’est
7 péquins en first classe avec ribambelles d’hôtesses
Et 4 crasseux genres Indiana Jones. Mais ++++ plus d’hôtesses car nous sommes plus jeunes plus beaux et surtout plus fous.
J’ai déjà dit que jusqu’à BORDEAUX cela avait été.
Mais pourquoi cette escale ?
C’est après que cela c’est gâté pour moi.
Le vrai trou. Mais non pas noir, le trou tout simplement, bourré jusqu’aux oreilles suite à la fiesta réalisée dans l’avion, les turbulences des autres voyages ne sont à côté que des vents légers qui soulèvent quelques plumes.

J’ai et j’en suis peu fier ramené tout le monde, mais Stéphane doit se marier
Robert et Gégène ont vu et ça leur suffit
Pour mon prochain voyage je dois trouver mieux,
En 1982 j’achète un Land Rover SW.
Je fabrique deux réservoirs de plus soudures bizarres mais soudures quand même.
1 de deux cent litres avec cloisons et tout comme il faut il sera à plat sur le plancher entre les banquettes arrières
Et un de 40 litres supplémentaires sous un siège AV
Et comme il existe toujours le principal en dessous, je suis paré question mazout
Entre temps j’ai dénichés deux VETOS de Corbeil Essonnes 91 qui ont aussi une land qu’ils voudront bien équiper pour reprendre une autre aventure avec moi
Ça tranquillise un peu VERONIQUE ma seconde future épouse qui va donc m’accompagner avec deux toubibs pour clebs dans ce qui sera le premier pour elle et pour ne pas dire le dernier voyage pour moi.
Véro à envie de connaître l’Egypte
Va pour l’ÉGYPTE que je ne connais pas non plus, Michel et Jacques non plus mais eux c’est plus le goût de l’aventure qui les pousse
Mon restaurant est vendu, et mes préparatifs se font à ST AIGULF
Maison, piscine que possède Michel, et moi en attendant de préparer mon camion je vends quelques paires de lunettes sur les marchés de la côte D’AZUR, je vous rassure c’est juste pour manger et boire un peu
Le camion Land Rover est prêt, je remonte sur Corbeil chercher mes oies et nous voilà embarqués encore une fois à 4 pour 5 semaines en Egypte.
Retour donc à Gènes que je commence à bien connaître.
Pour TUNIS
Tunis >>> ALEXANDRIE, ALEXANDRA même pas une tite tempête pour voir.
Puis route plein SUD en suivant le NIL.

Des cailloux, des cailloux et encore des cailloux, des ronds, des longs, des courts, debout couchés en voûtes ou pas entassés pèle mêle ou bien rangés mais toujours des cailloux, un peu gonflant ta cabane Francis
tout de même.
Anecdotes :
Un soir nous nous arrêtons comme d’hab n’importe ou pour boire manger et dormir, des soldats arrivent impossibol de dormir ici, vous venir avec nous.
Ah bon !
Les fusils étant du bon côté nous suivons donc jusqu’à une caserne ou les Lands Rover trop hautes ne passent pas,
rigolades.
Bon alors dans ce cas plus loin mais un garde vous accompagne et montera la garde toute la nuit ok OK
Tu parles le mec a tiré une seule fois dans la nuit, et pas que sur des joints pour nous faire croire que nous étions attaqués mais que grâce à son courage il a mis les agresseurs en fuite T’as raison Charles et eux non pas tiré une seule balle.
Allez va BAKCHICH. C’est bien t’es hachement courageux.
AUTRE
Nous suivons la vallée des rois plein sud
D’un côté mer sable plages barbelés, pipe line, re-barbelés la route puis sur les collines qui suivent la route batteries anti aérienne casemates jeeps, chars, sacs de sable soldats bien entendu tout le long.
Nous trouvons enfin un ti coin pour la baignade avons à peine le temps de découvrir les fonds magnifiques de la mer Rouge que nous sommes virés manu militari de cet endroit absolument magnifique, nous avons juste le temps de prendre nos fringues PUISQUE les énormes coquillages avaient été ramassés avant de commencer le bain et planqués dans les autos pas vus pas pris hi hi hi
Un autre jour, nous décidons d’aller dans le SINAÏ voir le couvent de sœur Machin Catherine.
Bien nous en prend
Nous arrivons devant le canal de SUEZ (balaise comme construction soi dit en passant)
Les soldats nous font patienter en nous indiquant un tunnel mais fermé pour l’instant OK nous attendons donc et attendons encore.
Plein les fesses d’être pris pour des cons je demande à voir le chef de poste, ce dernier m’écoute puis me fait signe de le suivre, il monte dans sa jeep fait 50 mètres s’arrête et me dit que nous allons pouvoir traverser sur un pont de bateaux
Un pont de bateaux en travers du canal !
Dit mon con quand tu auras fini de te foutre de nous !
Ces cons essaient quand même, quelle rigolade
Une barque, puis deux, puis une troisième, et une quatrième commencent le « pont de bateaux »
Arrivé à peine à la moitié du canal voila que le courant emmène le tout s’échouer sur notre rive mais sur la gauche
Dommage ils ont essayé prouvé leur bonne volonté mais c’est pas le jour. Tu parles fait nuit noire.
Une autre.
Avons soif, nous arrêtons les Lands et achetons du coca cola en petites bouteilles de 33 cl, frais sympa et repartons
Ma ma mia diables d’estrangers que faîtes vous là,
Une horde que dis-je une armée de mômes se met à courir autour des Lands, tapants dessus, extrèmements menaçants qui c’est qui a parler du téléphone Arabe. Ils arrivent à nous bloquer nous et les deux lANDS et nous leur demandons ce que nous avons fait de si mal pour mériter cet acharnement violent.
Les bouteilles il faut rendre les bouteilles vides ou pleines mais IL FAUT A TOUT PRIX LES RENDRE. Ah bakchichs quand tu nous tiens
Action réaction, tous les mômes s’éloignent comme si nous avions la peste
Allez encore une
, non deux
Passage à niveau fermé, toi tu t’arrêtes et tu attends
eux, viennent se ranger à coté de toi, puis un autre à côté de celui qui est déjà à cote de toi, puis arrive un âne avec sa charrette, idem
Mais pareil en face, le train passe. Les barrières arrivent à s’ouvrir et là je te laisse imaginer le bordel, le grand n’importe quoi ! si ils pouvaient se monter dessus, ils le feraient.
La der non parce que j’en ai marre mais c’est tout le temps
Une route, la route plein sud, de toute façon il n’y en a qu’une, tu peux même pas te gourrer.Plein sud tu as une route (la notre) et les plantations puis le Fleuve Nil puis des falaises avec d’anciens villages abandonnés et détruits, tout cela sur notre gauche donc à l’Est et au bord de la route à l’Ouest notre droite donc des villages d’ une misère comme je n’ai jamais vu.
Flicums, (flics) barrière rouge et blanche posée sur deux poteaux en travers de la route
Tu t’arrêtes bien sûr puisque tu es à l’entrée du village, contrôle.
Tu repars.
Sortie village re-contrôle.
Heu ! Chef, c’est fait c’est tout bon on ne vient pas d’être parachuté entre les deux cheks-points de contrôles ok ?
Non pas ok papiers ? Voila (tu parles même pas le temps de les ranger)
Je lui file mon passeport à l’envers et il feuillette ce con jusqu’à la photo qu’il voit bien sur à l’envers
Ok c’est bon vous pouvez passer
10 Kms plus loin rebelote entrée et sortie du bled
5 Kms plus loin re et re re re
Par contre tout le long de la route je n’ai de ma vie vu une misère pareille,
Imaginez la crèche et la naissance de l’enfant Jésus, c’est kif kif la bourrique
4 murs en briques de terre une porte de la paille au sol, et toute la famille smala à l’intérieur, avec les deux ou trois biquettes,
Le bœuf si ils sont riches…
L’âne si ils sont très très riches….
Les poules y en ont
Et pis c’est tout
Mais où qu’elle est ma télé, ma 1ère chaîne avec ANNE SINCLAIR ma seconde chaîne
Ma 3ème
Et canal + ou qui m’ont foutu canal ces cons,
Ben y en a pas, y a queue dalle, y a rien !
Une vraie misère, pas une misère de périfs, non de ou j’ai rarement vu ça, au Caire et encore

Une fois couché dans un tombeau taillé à même la montagne et toujours en place malgré les siècles, grimpés, (on pouvait encore) la moitié des pyramides, vu Abou Simbel le lac de Philae Karnac jour et nuit avec concerts
Et tout le reste et il y en a croyez-moi nous décidons d’arrêter les frais
Et de passer nos voitures à une autre équipe venue en avion au Caire qui eux feront le voyage du retour Paris
Nous couchons donc une nuit au NOVOTEL en construction au Caire et attendons que nos potes arrivent
Je me souviens avoir dormi au Novotel sur une dizaine de matelas sous plastique (tous neufs donc) mais toujours le nez dans les étoiles
Je me souviens également que VERO a « garé » la Land dans un fossé (ne devait pas avoir assez de place autour)
Que par besoin de toilette elle va se doucher tout habillée sous une pompe distribuant de l’eau à 5 mètres de hauteur (pompe installée pour distribuer de l’eau aux camions de passage qui en on besoin)
Un soir elle sort trop tôt nos deux oreillers et les voilà emportés par le vent, hélas jamais retrouvés surtout de nuit.
au camions de passage qui en on besoin) mais en plein désert
Un soir elle sort trop tôt nos deux oreillers et les voilà emportés par le vent, hélas jamais retrouvés surtout de nuit. De très longues recherches furent pourtant faîtes, avec tous les moyens modernes dont nous disposions, lampes torches éclairant les étoiles, phares de voitures jusqu’au moment ou la découverte de masures en « préfa périf » nous fera de cesser les recherches, nos oreillers sont obligatoirement là mais moi je n’irai pas les chercher dans ce coupe gorges


Une encore sur le SOUDAN
J’ai pas le même souvenir que SOUCHON sur le SOUDAN c’est curieux non !
A Paris 6 mois avant nous étions allés au consulat et à l’Ambassade du SOUDAN
Pour leur demander des visas touristiques
OK c’est très bien de faire comme ça pour visiter notre grand pays, vous revenir dans 3 mois tout sera près.
Salut ok et à dans trois mois.
3 mois plus tard nous sommes reçus par Misé L’ambassadeur lui-même présentement qui a des Ray Ban aussi grosses que des narines, ou l’inverse je ne sais plus
et qui nous dit que tous les papiers sont faits et que lorsque nous arriverons la bas ils les sortiront et nous passerons.
Après un raz le bol compréhensif de cailloux nous aspirons au calme du vrai SOUDAN.
Lorsque nous nous présentons en 1981 à la frontière, les soldats nous refoulent et sans ménagement PAS DE VISAS VOUS PAS RENTRER CHEZ NOUS.
Je vous épargnerai ici les discussions (moitié ti nègres moitié ti blancs).

Blef j’ai vu du SOUDAN du sable, quelques arbres rabougris, et des gents foutres.
Nous couchons tous au Caire au seing du Novotel en construction sur des dizaines de matelas sous plastique. Après bien sûr avoir presque tout visiter
Anecdote.
Une mémé traverse la route, est renversée par un taxi, elle arrive à se traîner sur le trottoir gueule comme une vieille blessée peut gueuler avant que des quidams la rejettent dans le caniveau et puis c’est tout.
comme ils se foutent de tout chez eux, ben ici ça doit être la même chose.




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Re: ET SI NOUS FAISIONS UN CONCOURS DE PHOTOS

Message par vasco » jeu. avr. 24, 2014 2:44 pm

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Re: ET SI NOUS FAISIONS UN CONCOURS DE PHOTOS

Message par vasco » jeu. avr. 24, 2014 5:10 pm

C'est long...mais j'ai tout lu. :ange:
le vécu :kaola: (comme dans la vie) c'est toujours plus long

bravo [:artlou:2] [:amiralackbar:3] :jap: z'êtes des vrais courageux, mais c'est plein de fautes et comme c'était un premier jet
ben faut tout relire :whistle: :lol: :jap:

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Re: ET SI NOUS FAISIONS UN CONCOURS DE PHOTOS

Message par jeffk21 » jeu. avr. 24, 2014 5:17 pm

Tout lu aussi... On se croirait presque dans un roman de Cizia Zykë (Sahara)...
L'aventure, c'est l'aventure... :jap:

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Message par vasco » jeu. avr. 24, 2014 5:34 pm

Tout lu aussi... On se croirait presque dans un roman de Cizia Zykë (Sahara)...
L'aventure, c'est l'aventure... :jap:
:jap: alors là je dis respects
(comme le corbeau alors, flatteur va ! mais j'ai po de fromage :non: :lol: )

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Re: ET SI NOUS FAISIONS UN CONCOURS DE PHOTOS

Message par vasco » mar. avr. 29, 2014 4:55 am

pour tous ceux qui ne connaissent pas mais que ça intéresse
à Agadez mon Land était garé à juste à côté de la R20 Turbo des Frères Marreau
j'ai bien une photo mais en 1982 c'est que de L'argentique, que de souvenirs [:wise901:9] ....la piste [:amiralackbar:3]


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Re: ET SI NOUS FAISIONS UN CONCOURS DE PHOTOS

Message par Droopy » lun. mai 05, 2014 6:24 pm

Bon... on est début mai... z'avez pas un autre sujet ? :D
Saab(s) Vendues, Clubi vendu...

Le parc auto a radicalement changé...
Maintenant c'est Zoé, Scenic, HD Forty-Eight, Vespa 125GT de 1963 et Caterham

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Re: ET SI NOUS FAISIONS UN CONCOURS DE PHOTOS

Message par vasco » lun. mai 05, 2014 8:11 pm

Bon... on est début mai... z'avez pas un autre sujet ? :D
place svp au marrant de service
j'ai nommé DROOPY

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Re: ET SI NOUS FAISIONS UN CONCOURS DE PHOTOS

Message par Droopy » lun. mai 05, 2014 11:48 pm

Pkoi tu dis ça ? :heink:
Saab(s) Vendues, Clubi vendu...

Le parc auto a radicalement changé...
Maintenant c'est Zoé, Scenic, HD Forty-Eight, Vespa 125GT de 1963 et Caterham

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Re: ET SI NOUS FAISIONS UN CONCOURS DE PHOTOS

Message par jeffk21 » mar. mai 06, 2014 1:41 am

Ben je pense que Vasco veut que tu choisisses le sujet... J'ai bon là ?? :D

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Re: ET SI NOUS FAISIONS UN CONCOURS DE PHOTOS

Message par Droopy » mar. mai 06, 2014 6:58 pm

Music maïstro, music !!!!!! :D
Saab(s) Vendues, Clubi vendu...

Le parc auto a radicalement changé...
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Re: ET SI NOUS FAISIONS UN CONCOURS DE PHOTOS

Message par vasco » mar. mai 06, 2014 7:45 pm

Ben je pense que Vasco veut que tu choisisses le sujet... J'ai bon là ?? :D
bravo [:camilo16:1] UN qui suit
si ça doit être la zique ben ce sera la zique
mais sur une idée hein ! je me moque totalement du style, de la qualité de l'image, qu'elle soit pro même des photos venant d'un jetable, bref vous aurez compris que je préfère n'importe quoi comme photo, plutôt qu'un abstentionnisme ;) :jap:

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Re: ET SI NOUS FAISIONS UN CONCOURS DE PHOTOS

Message par aerogaz » mar. mai 06, 2014 8:52 pm


, bref vous aurez compris que je préfère n'importe quoi comme photo, plutôt qu'un abstentionnisme ;) :jap:
compris... :jap:
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Re: ET SI NOUS FAISIONS UN CONCOURS DE PHOTOS

Message par vasco » mer. mai 07, 2014 9:54 am

Abstentionnisme?! :ouch: Non :non: Monsieur, Je travaille :o pour payer TA retraite! :kaola:
Alors il faut nous laisser un petit délai supplémentaire. :whistle:

ta retraite ta retraite ! :sol: comme si je t'attendais, c'est moi qui l'ai fait ma retraite
et moi j'ai bien payé celle de ton grand père :jap: :kaola:

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Re: ET SI NOUS FAISIONS UN CONCOURS DE PHOTOS

Message par vasco » mer. mai 07, 2014 9:59 am

et puis si tu veux vraiment me parler de quelque chose les sujets ne manquent pas :jap:


pour tous ceux qui ne connaissent pas mais que ça intéresse
à Agadez mon Land était garé à juste à côté de la R20 Turbo des Frères Marreau
j'ai bien une photo mais en 1982 c'est que de L'argentique, que de souvenirs [:wise901:9] ....la piste [:amiralackbar:3]

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treuil, pelle alu, étau, grille de protection, casquette pare brise, échelle AR ,galerie de toit totale,80 litres de gazoil, 20 d'eau froide qui deviendra chaude avec des sachets de thé dedans 20 litres d'eau claire + 20 litres d'essence pour la moto (Autant ce peu).

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Edit modo : correction des balises

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